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©CALANQUES DE CASSIS POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE poète,écrivain,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX ,photographe d’art, créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com ,
Pendant cette période caniculaire,
Je vous emmène en ballade sur une musique de TOM JONES,
Pour goûter au romantisme de la mer,
En bateau, dans les calanques de CASSIS.
©CALANQUES DE CASSIS POEME THOMAS ANDRE©


Une merveille de la nature,
Une création de cette nature,
Par ces escarpements, et son relief, une protection de notre nature,
Considéré aussi, comme un écosystème de la nature.

En avril 2012, le parc national des calanques a été reconnu,
Site protégé, pour ses particularités très connues,
Des anses de calcaire creusées dans les roches,
Dissimulant souvent des trésors, sous ses roches,

En effet, la grotte COSQUER, unique au monde,
Regorge de richesses archéologiques, sur nos ancêtres de notre monde,
Il n’est pas sûr, que d’autres grottes, ne soient pas encore explorées,
La recherche de notre identité, contient encore de nombreux sites à explorés.


Pourtant, chacune à sa particularité,
Nous laissant des fois, perplexes sur cette vérité,
Par sa formation atypique par sa plage caractéristique,
Et nous sommes surpris par tant de diversités très spécifiques.


Quand l’entrée se dévoile, cela nous fait l’effet, de la conquête d’une femme,
En effet, devant nous l’inconnu comme l’approche de sa future femme,
Des secrets se dévoilent à nous, nous laissant en expectative,
Car un flot de questions surgit devant tant de beauté représentative,


La vue de ces images,
Ressemble à des mirages,
Où le soleil, et l’air de la mer nous étourdit irrémédiablement,
Nous laissant pantois, impressionnés favorablement,


Par l'image que nos yeux abordent,
Et malgré le remous du bateau,
Nous restons remplit de sensations qui nous débordent,
Faisant fi de l’instabilité sous jacente, de notre bateau.


Que dire, si ce n’est de vous y rendre à l’occasion,
Afin que vous-même, vous vous fassiez une opinion,
Qui j’en suis sûre, sera celle de votre perception,
Qui s’ouvrira, lors de cette promenade, à toute cette vision;

©J'OSE TE LE CONFIER THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX ©

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THOMAS ANDRE poète,écrivain,http://www.thomasandre.c.la/
Photographe d’art, créatrice de la photo peinture MARTINE ANCIAUX,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
Ce photo-poème particulier, est dédié aux personnes, qui du jour au lendemain,
Se sont retrouvés seuls, sans les êtres qu’ils chérissaient, et qui ont
Du affronter cette nouvelle vie, sans que le temps efface totalement,
La personne qu’il ont aimée, dure confrontation avec le réel, au moment,
Où l’on se dit, qu’on existe encore, alors que son amour d’une vie, n’est plus.
google traduction
THOMAS ANDRE poet, writer, http://www.thomasandre.c.la/
Art photographer, creator of the painting photo MARTINE ANCIAUX,
  http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
This particular photo poem is dedicated to people who overnight,
  Were left alone without the things they cherished, and have
Face of this new life without the time clears completely,
The person he loved her, hard confrontation with reality at the time,
Where we said, we still exist, while his love of life, is no more.
©J’OSE TE LE CONFIER POEME THOMAS ANDRE©


Depuis que tu m’as quitté,
Je ne t’ai toujours pas quitté,
Et malgré le temps j’ai tellement de choses qui me rappellent toi,
Que mon esprit ne peut se séparer de toi.

Depuis que tu es parti,
J’ai vu de très belles choses à travers le monde,
Mais nulle part, dans ce monde,
Je n’ai pus t’oublier.

Depuis le triste jour de ton départ,
Il n’existe pas une chose, ne serait ce que simplement futile,
Qui me rememmore pas ton absence, et mes jours inutiles,
Comme un être sans but, j’erre et crie ton nom de toute part.

Depuis que je te cherche,
Ma pensée est à ta recherche,
Chaque bribe de ma mémoire, me renvoie à nous,
Et même en essayant, de t’oublier, je reviens vers nous.

Depuis que tu m’as enlevé ta vie,
Je fuis vers toi, pour retrouver un peu de vie,
Comme le gibier fasse au chasseur,
Je me noie dans mon chagrin et j’ai peur.

Depuis que tu m’as laissée seul,
J’ai quand même évolué, pour faire face, à ta disparition,
Mais, mes efforts surhumains, n’arrivent jamais à combler, ma sensation,
Ce vide extraordinaire, plus vaste qu’un trou noir me laisse seul.

Depuis que tu t’es envolé,
Je ne suis plus qu’un jouet ballotté,
Qui survie dans un monde furieux, ou là aussi l’espoir s’est envolé,
La recherche impossible de l’absolu, déclenche un malaise de tout coté.

Depuis que dans ma vie le noir remplace le blanc,
Je ne sais ou me tourner seul sur ce banc,
Ou nous allions bavarder, toi ma bien aimée,
Ne comble Ma tristesse, de ton enlèvement mon aimée.

Depuis ce malheureux jour,
Ma vie a perdu de ces atours,
Et comme un fou j’attends le grand jour,
Ou enfin nous pourrons à nouveau être réuni pour toujours.

google traduction
© J'OSE TE REFER THE POEM THOMAS ANDRE ©


Since you left me,
I still have not left you,
And despite the time I have so many things that remind me of you,
My mind can not be separated from you.

Since you left,
I saw beautiful things in the world,
But nowhere in this world,
I did could you forget.

Since the saddest day of your departure,
There is no one thing that would simply futile,
That not rememmore me your absence, and my useless days
As a being aimless wandering and I scream your name everywhere.

Since I seek,
My thought is your search,
Every bit of my memory takes me back to us,
And even trying, to forget you, I will come to us.

Since you took me your life
I flee to you to find some life,
As the game make the hunter,
I'm drowning in my sorrow and I'm scared.

Since you left me alone
I still have evolved to cope with, your disappearance,
But my superhuman efforts, never able to make up my feeling,
The larger a black hole extraordinary empty, leave me alone.

Since you flew you,
I'm not a toy tossed,
That survival in a mad world, or again the hope is gone,
Impossible search for the absolute, triggers discomfort of any side.

Since in my life black replaces the white
I do not know where to turn one on the bench,
Or we would chat, you are my beloved,
Does not fill my sadness, my love your collection.

Since that unfortunate day
My life has lost these attires
And like a fool I expect the big day,
Or we can finally be together again forever.
J'ESPERE QUE LA TRADUCTION SERA CORRECT MERCI BEAUCOUP.



©COLORADO PROVENCAL POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©TELEVISION

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THOMAS André, poète,ècrivain,auteur,poème,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciauxmartine.fr, http://www.anciauxmartine.com,
Définition du dictionnaire : Colorado provençal ou ocres de Rustrel,
site semi-naturel,exploité depuis la fin du XVIIe siècle jusqu'en 1992.
Situé sur la commune de Rustrel,département Vaucluse, région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Paysages constitués de sable d’ocres,
Il y a des millions d’années,la mer en se retirant laisse derrière elle des bancs de sables riches
d’ argile,contenant du fer,la glauconie. Le Roussillonnais Jean-Étienne Astier eut l'idée, à la fin du XVIIe siècle,de faire passer ce sable dans des bassins de décantation,pour extraire l'ocre.Le fit ensuite cuire, pour garder les propriétés colorantes.Six départements possédaient des gisements: Vaucluse,Cher,Drôme,Gard,Dordogne,l'Yonne. Le chemin de fer à Apt en 1877 permit l'exploitation intensive dans le Vaucluse.
Site exceptionnel et fabuleux à voir


COLORADO PROVENCAL POEME©THOMAS André©

Son nom, il le partage avec un autre lieu,
Qui se trouve à mille lieux,
Ici, il se nomme Colorado Provençal aux pays de Provence,
Aux Usa, son nom est Colorado comme un rappel d’existence.

Dans la région PACA, il se trouve près de RUSTREL,
Il était le lieu des anciennes carrières d’ocres,
Il y a d’ailleurs pas loin le musée des ocres,
Sans compter la visite du village de RUSTREL.

La marche pour la visite est obligatoire,
Il y a sur les lieux du parcours des sites d’observatoire,
On est transporté par les formes,
Et les superbes avancées ou promontoires qui les forment.

De la couleur,
De la diversité,
De la géométrie en suspension ou ailleurs,
Et ses fantaisies et leurs complexités

Quand on traverse cet endroit,
On passe du blanc au rouge,
Cet ocre si précieux est rouge,
Ce site industriel en garde des traces par endroits.

Dans ma découverte,
Je me sens surpris par des taches de couleurs vertes,
Cherchant des trésors géologiques,
Je ne ressens plus mes dépenses physiques.

Comme un aventurier en quête de trésors,
Je me hisse grâce à mes yeux au sommet de ces roches,
De ces pierres en suspensions qui sont des trésors,
Du travail de la mer sur notre terre qui les a taillées et a formé cette approche.

©INTEMPOREL THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX PAUL DECOMBLE BALLADE POUR 2 AMIS©

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THOMAS ANDRE,écrivain,poète,auteur,poésie,poème,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX,photographe d'art,créatrice de la photo-peinture.
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
Musique « Balade pour 2 amis » par Paul Decomble
INTEMPOREL: « Qui est indépendant du temps, et qui ne varie pas avec lui. »
Les valeurs, sont des vérités intemporelles,
Transmises de générations en générations, en conditionnant le moi profond de l’homme.
Pour moi,la vérité,l’amour,le deuil,la religion,la philosophie,le destin,l’univers,le temps,et l’histoire sont,
Et deviennent intemporelles.

INTEMPOREL POEME THOMAS ANDRE

Au fil du temps, lorsque raccourcissent les jours,
Et que les matins, m’éloignent de la chaleur des beaux jours,
Mon esprit vagabonde, et se remémore pour toujours,
Les douceurs de cet été, où toi et moi, fêtions nos amours.

Après de longs échanges amicaux,
Où nous nous plaisions à nous rencontrer,
Un sentiment très étrange, s’est immiscé changeant nos égaux,
Modifiant l’approche, de nos rencontres si recherchées.

Tu étais plus proche de moi,
J’arrivais presque à venir à toi,
Ce long chemin, qui fait que l’amitié, se transforme en un grand amour,
Nous pénétrait progressivement, et nous faisait aimer, encore plus nos jours.

La plage et son ressac, orchestraient nos discours,
Et là, des hypothèses de vies se dessinaient restant à effectuer,
Nous menant paradoxalement, vers notre couple de toujours,
Toi l’optimiste, moi le pessimiste, restait notre destin à cheminer.

Drôle de vie, l’ouverture est souvent, au bout du chemin,
Comme lorsqu’on rentre dans un tunnel, il nous tarde d’en voir la lumière,
Nos yeux en cherchent la fin,
Comme si l’obscurité nous angoissait, attendant enfin, ce rai de lumière.


Depuis ta disparition, je n’ai pas voulu chercher,
Mais la vie, s’est pris un malin plaisir, à la rechercher,
Et au moment, où je doutais le plus,
Elle s’est avancée, surpris par tant de spontanéité, ce signal était la preuve de plus.

La désespérance, n’est pas le propre de l’homme,
Son parcours, est plus complexe,
Il est parsemé, de tribulations convexes,
Ne le limitant pas, dans son destin d’homme.

Mais dans un espace plus grand, et moins physique,
Que l’on nomme parfois l’intemporel,
Ou, parfois même l’irréel,
Enclenchant dans nos vies, des réactions surnaturelles, et chimiques.

©SOUL MUSIQUE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE,écrivain,poète,poésie,poème,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et créatrice de la photo-peinture.
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
Pour moi la soul musique, c’est une musique afro amèricaine qui bouge,qui percute,
qui donne envie de danser,de s ‘extérioriser dans le bon sens du terme,
La situation n’étant pas joyeuse,j’ai voulu vous donner du tonus
et avec James Brown, Aretha Franklin, ray Charles,Stevie Wonder,
Jackson brother,mickael Jackson,otis reding,marvin gaye,
Et des groupes qui enchantent et enchantèrent les années 1960 et 1970,
Sous des labels Motown à DETROIT,Stax à MEMPHIS,
faisant éclore des groupes hommes,femmes,
Dont la musique SOUL est le moteur celle-ci s’inspirant du gospel
et du rythms and BLUES.
©SOUL MUSIQUE POEME THOMAS ANDRE©

Une musique rythmique,
Loin d’être académique,
Balançant aux accents des cuivres,
Et déclenchant la cadence lors de la puissance des cuivres.

La mise en ligne de la batterie assurant le tempo,
Alors comme entraîné, par on ne sait quelle force, on se met au tempo,
Se lançant dans la danse,
Et évoluant plus vite, ou plus lentement, sur chaque pas de danse.

La soul musique étant la musique de l’âme,
Nous laisserons de coté notre vague à l’âme,
Pour rechercher une plénitude,
Ecorchant au passage notre habitude.

Comme envoûté par cette ambiance,
Notre corps se livre sans méfiance,
A cette musique qui nous cajole
Et rend honneur à la superbe chanson qui s’étiole.

Laissant les spectateurs hébétés,
Mais aussi et surtout enchantés,
Cet air ils s’en rappelleront,
Et certainement que plus tard ils le chanteront.

Ces chœurs, cette musicalité,
Toute cette sensualité,
Qui déclenche en toi cette sensibilité,
Et te fait vibrer par cette diversité.

Tu te sens transporté,
Comme une feuille par le vent emporté,
Lâchant prise à ta façon d’être,
Tu te livres de tout ton être.

Alors comme exalté,
Tu devras te ressaisir,
Pour que ta vulnérabilité
A la soul musique, ne t’empêches pas de partir.

©NUIT THOMAS ANDRE MARTINE ANCIAUX PAUL DECOMBLE©

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THOMAS ANDRE http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX photographe d’art et créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
MUSIQUE PAUL DECOMBLE.
Il y a de nombreuses façons de parler de la nuit,
J’ai voulu vous en écrire une en vers,
Et je vous la présente aux quatre saisons,
Nuit d’hiver, ou le sol blanchit, et le vent te glace,
Mais la nuit, est étoilée, et éclairante, par une lune rayonnante.
Nuit de printemps, à la pénombre, qui suit la fin d’un jour,
L’air s’emplit, des parfums de fleurs et d’arbres.
Nuit d’été, c’est la nuit des chanteurs, la symphonie des grillons,
L’éclairage des fourrés, par des lucioles.
Nuit d’automne, le bruit des glands des chênes qui tombent,
L’humidité qui mouille le sol avec l’apparition de petits brouillards.
©NUIT POEME DE THOMAS ANDRE©

Aussi loin que je m’en souvienne,
Lorsque petit, la disparition du jour,
Etait pour moi, comme une souffrance, due à cette obscurité,
Tout se transformait, par rapport à la vérité du jour.

Lorsque ces ombres, se multipliaient, et que je jetais un œil derrière moi,
Comme si quelqu’un était après moi,
Lors de l’adolescence, le soir devint symbole de sorties,
Et là, pour en profiter, il ne fallait pas être privé de sorties.

Que ceux, qui ont connu le temps des parents plus stricts, se rappellent,
La demande pour aller dehors, était une sacrée procédure,
Et le travail d’écolier devait être terminé, avant de se lancer dans cette ouverture,
Est-ce que je peux sortir, mes amis m’appellent?

Souvent c’était la soupe à la grimace, les résultats du gamin n’étant pas flamboyants,
Alors s’entamaient de longues discussions,
Sous forme de grandes négociations,
Tout cela pour pouvoir, être en soirée, près et pimpants.

Il faut vous dire, qu’à cette époque, la rue était sûre,
Il n’y avait pas besoin de sortir, en armure,
Une sorte de paix bienveillante, était en vigueur,
Ce n’était pas comme à l’heure actuelle, les villes de la terreur.


Comme si nous étions de la vraie planète terre,
Et que point était nécessaire, de mettre toutes les conventions par terre,
Pour un vieux comme moi, on dira que c’était le bon temps,
Et que les heures du soir s’écoulant, n’amenaient pas pour les gens, du mauvais temps.

Très difficile d’imaginer, cela maintenant,
On a presque l’impression, que cela se passait, sur une autre planète,
Relégués que nous sommes, à l’heure actuelle, à nous protéger à chaque instant.
Il y a eu comme un tsunami social, qui a engendré la mort de notre planète.

Entraînant une dislocation de la société,
Où le crime est devenu banal,
Où on voit tous les jours des faits divers au journal,
De la télévision, ou des nouvelles sur le web, en majorité.

Suis-je pessimiste, je ne le crois pas,
J’aurais voulu faire, une ode à la nuit,
A la douceur de la vie, dans la nuit,
Mais je n’ai pas pu, cela, avec la réalité, ne collerait pas.

©MELANCOLIE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE,écrivain,poète,auteur,poésie,poème http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et créatrice de la photo-peinture.
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com

On a tous eus un jour, un moment de mélancolie,
C'est l'instant, ou l'esprit, se nourrit des souvenirs du passé,
Ceux qui malheureusement, sont bels et bien, tristes, et passés,
Te laissant là, sans ressort et sans joie, dans une sorte d'atonie.

Ce moment, est souvent catastrophique, pour l'humain,
Il est la source, de problèmes intérieurs,
Des événements de son histoire, à jamais disparue, le laissant seul, sans possible lendemain,
Pourtant chaque être, doit pouvoir se battre, pour vivre sa vie d'humain.
THOMAS André

Voici un photo-poème, sur cette mélancolie, qui parfois, en nous, nous ronge.
©MELANCOLIE POEME THOMAS ANDRE©


Comme ce chien, qui hurle dans la nuit,
Comme ce cheval, seul dans sa prairie,
Comme cette vache, qui te regarde, car elle s'ennuie,
Comme tout un chacun, tu connais la mélancolie.

Toi, qui était habitué, à ce qu'elle soit là,
Aujourd'hui, tu regrettes ce temps là,
Les engueulades, comme les rires,
A l'instant, il n'y a même plus de sourires.

Et tu écoutes, cette musique,
Et comme un fou, tu chantes ces harmoniques,
Balbutiant, au travers de tes pleurs,
Tout ce temps, que t'accompagne tes douleurs.

Dans la tombée du soir,
Tu te retrouves seul, comme dans un miroir,
Cherchant au travers, de l'appartement,
Si elle n'est pas là, dans cet immense appartement.

Mais non, tu ronges ta peur,
Celle de ne plus la revoir, quelle terreur,
Tu te hasardes, prés du pick-up, qui joue un de ces airs préférés,
Comme ci cela pouvait, la faire revenir, et retrouvé ta bien aimée, ta préféré.

Alanguit par les notes, de ces belles chansons,
Tu te laisses aller, dans ton chagrin,
Depuis qu'elle n'est plus là, tu as perdu ton chemin,
Et même la vie, n'est plus à tes yeux, cette douce chanson.

Alors, comme un somnambule,
Dans ces pièces, tu déambules,
Cherchant ton trésor disparut,
Et auquel comme un naufragé, tu cherches, cette disparut.

Regardant lentement, les notes qui s'enfuient,
Et loin d'elle, aujourd'hui encore, tu la poursuis.
Tu erres, dans le noir,
Comme tu le fais, chaque soir.


Ta puissance à oublier le malheur, s'est tarit,
Et tu as beau te raisonner, s'en est ainsi,
Comme un homme, qui n'a plus de but,
Tu es devenu esclave, de ta mélancolie, dans quel but ?

©FEE ELECTRICITE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS DU WEB PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE,écrivain,poète,poésie,poème http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et créatrice de la photo-peinture.
http://www.anciaux-photos.fr http://www.anciauxmartine.com
L’Electricité domestiqué a été la source d’un développement fantastique de l’humanité,
Sûrement mal maîtrisé, au point que l’énergie primaire, qui intervient pour la création
De l’électricité, est un sujet très difficile à trancher, à l’heure actuelle.
©FEE ELECTRICITE POEME THOMAS ANDRE©


Si, pour moi une découverte des temps modernes, doit être indispensable,
C’est la mise au point du courant électrique,
Ce fameux transfert, des particules chargées, qui propulse cette lumière indispensable,
Que chacun de nous, ne peut qu’utiliser, dans des domaines éclectiques.

Je me souviens de ma jeunesse, et de ce proverbe,
Que la lumière soit, et la lumière fût,
Semblant être, comme un miracle de nos vies, pour sortir l’homme de ce qu’il fût,
Ignorant pendant longtemps, ce prodigieux mot « électrique », avant d’en inventer un verbe,

Electriser des corps, pour produire des sources d’énergies,
Capable d’influencer des procédés, pour nous mettre aujourd’hui, presque en pénurie d’énergies.
L’homme est ainsi fait, l’abus fait partie de sa vie,
C’est pour cette raison, que nous sommes un monde en survie.

De nos petites ampoules,
Aux installations, aux nombreux joules,
Qui minent nos réseaux,
Et nous fait chercher, un domaine différent, pour pouvoir étancher nos besoins nouveaux.

Et dire, que notre corps ne fonctionne, que par des décharges électriques,
Engendré par notre cerveau, cette structure extrêmement complexe,
Renfermant plusieurs milliards de neurones, connectés par un système multiplex,
Dont nous n’avons pas encore établis, tous les paramètres chimiques,

Et le schéma du raisonnement sensoriel,
Par contre, Nous avons adapté la machine, à la façon dont fonctionne notre cerveau,
En inventant l’ordinateur, copie moins sophistiqué, de notre cerveau,
Mais plus maniable, pour les gens avertis, qui peuvent s’en servir de vecteurs tutoriels.


Nous évoluons à la vitesse grand V,sans toutefois tous maîtrisés,
Ainsi nous avons des conflits entre l’énergie atomique,
Et l’énergie solaire, qui se stocke dans des panneaux solaires déposés,
Sur le toit des maisons et installations avec une drôle d’éthique ;

Moi, qui ne suit pas aussi brillant, que nos penseurs,
Je les interpelle, en leurs disant, que l’énergie solaire,
N’est autre que le résultat, de milliards de réactions atomiques, au sein de notre soleil charmeur.
Libérant de l’énergie chargé en photons,et capter par des panneaux solaires.

Alors, la question est, pourquoi tant de bruit contre l’énergie nucléaire ?
Puisque même les verts, préconisent l’énergie solaire, qui est totalement nucléaire,
Ce fait, pour montrer que l’homme, est toujours en contradiction,
Sa vie, est comme l’instabilité d’un corps chimique, recherchant l’équilibre en solution.

©LA MONTAGNE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE,écrivain,poète,poésies, http://www.thomasandre.c.la/,
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art, et créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
A l’heure, ou le froid, et les flocons de neige
Se regroupent sur nos routes, et sur nos stations de ski,
Je vous emmène dans cette montagne en images et en poésies.

©LA MONTAGNE Poème THOMAS André©

Comme une émergence rocheuse,
Elle se dessine dans le lointain,
Et envahit l’immensité de la vallée,
Et s’étalant, de toute sa main rocheuse.

De son piédestal, elle domine l’infini,
En nous montrant, sa beauté si définie,
Qui engendre, les grandes aventures d’escalades,
Celles que les guides, rendent en escapades.

Avec son manteau neigeux,
Dans ce décor si lumineux,
Où la lumière, quérit la blancheur,
De ces pentes si belles, et si pentues, avec cette couleur.

Dans l’histoire de la montagne, c’est le côté sauvage,
Dans l’épopée, de cette grande dame,
Qui comme un étalon, donne la volte, et son image,
Elle se tient droite, comme le bateau qui rame.

Quant à la lumière du soleil,
Ce sommet qui respire, comme une treille,
Allumé par le feu solaire,
Comme un projecteur, qui éclaire un pic polaire.

Pour vaincre ces montagnes,
Il y a des aventuriers des sommets,
Qui maîtrisent les risques des montagnes,
Imprégnant de leurs empreintes, ces vertigineux sommets.

Comment ne pas être admiratifs !
Où ne serait ce que pensifs !
Devant une telle force, et une telle abnégation,
Concentrant à nos yeux, une réelle admiration.

©LA MER POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE, écrivain,poète,poésies, http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
En cette période de froid,
Je viens vous faire rêver, au soleil, à la mer, et peut être déjà à des vacances
Tout en mentionnant tous les dangers de celle-ci, LA MER.
LA MER POEME DE THOMAS ANDRE

La mer a des richesses innombrables,
Et renferme en son fonds des trésors inépuisables.
Sa beauté, sa fougue et sa colère sont souvent insupportables,
Mais quand elle est douce et câline, elle est formidable.

Combien de bonheurs, et de drames a-t-elle connus,
Si elle pouvait parler, nous connaîtrions tant de secrets méconnus,
Ses vagues bercent tant d’îles merveilleuses,
Où l’on entend des musiques prodigieuses.

Elle peut-être notre meilleure amie,
Comme il arrive parfois que tu sois notre pire ennemie,
Mais lors d’un clair de lune tu deviens si poétique,
Mais n’oublions jamais que ta hargne peut être maléfique.

Ton immensité, nous affole, et engendre en nous une peur
Seul le marin garde le cap,
A condition, que tu lui en donnes la possibilité, de maintenir son cap,
Quand ton bon vouloir, lui laisse une impression de pouvoir prouver sa valeur.

Comme une mante religieuse, tu happes la vie,
Car de toi, beaucoup en ont envie,
Mais résolument indépendante, tu choisis les bateaux vainqueurs,
En les propulsant par tes vents vers les rivages sauveurs.

Le respect que tu imposes, est significatif,
Et reste aux yeux des connaisseurs,
De ne jamais sous-estimer tes valeurs,
Sinon, gare à celui, qui n’est pas attentif.

Vu du ciel tu donnes la couleur à notre terre,
Grâce à toi, on l’appelle la planète bleue,
Comme cette couleur, en ton sein, qui varie d’intensités, et de bleus,
Suivant ta latitude et ta longitude sur notre terre.

Tu recouvres les trois quarts de notre terre,
Et pour nous, tu es notre survie, sur cette terre,
Car tu le sais trop bien que, sans eau, aucun humain, ne peut survivre,
Alors viendra le temps, où l’on essaiera de t’apprivoiser, afin de vivre.

©EGLISES ET CATHEDRALES - POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE écrivain, poète, poésie, poème http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX photographe d'art et créatrice de la photo-peinture
http://www.anciaux-photos.fr http://www.anciauxmartine.com
Sur les très belles photos&photos-peintures de Martine ANCIAUX,
En cette période magique de NOEL, j’ai ressenti le besoin de réaffirmer ma foi,
Et de consacrer un photo-poème sur la représentation toujours grandiose
Que l’homme donne à sa foi, cette année qui a vu l’arrivée d’un nouveau pape,
Le pape FRANCOIS, après un acte exemplaire de courage du pape BENOIT XVI,
Qui, se sentant plus en état d’assumer ses fonctions, à préférer abdiquer.
En politique, chez nous, certains auraient pu prendre exemple, malheureusement,
Leur ego étant trop important, ils préfèrent, soit disant assumer,
Malgré leurs évidentes Incapacités. On ne refera pas les hommes,
Ils ont oublié, ce que signifie le mot Paix, et Acceptation de Soi.
Je souhaite à tous de bonnes FETES DE NOEL.
©CROIRE, Eglises et Cathédrales-POEME THOMAS ANDRE©


La foi, une croyance,
Une forme d’espérance,
La voix d’une alternance,
Le choix de pouvoir choisir sa chance.

C’est le moment de ton existence,
Où en te posant des questions, tu arrives à ton évidence,
DIEU, est présent et m’accompagne,
Dans mon chemin, la vie, que je nomme ma montagne.

Surmontant, les dangers de cette vie,
Par ma prière, et ma force intérieure,
Car, en fait, si bien des fois, je doute de toi, la vie,
Je ne nie pas, ta richesse spirituelle, supérieure.

Tu portes en toi, tous les défauts,
Mais aussi, toutes tes qualités,
Celle de l’amour, celle du partage, et des difficultés,
Comblant les vides, de nos défauts.

Tu nous fais vivre, en conscience,
Faisant le choix, entre le bien,
Et le mal, qui t’exaspère et ébranle ta conscience.
Jouant avec tes vérités propres, comme une alternance au bien.

Mais, tu sais, où il est bon, de se définir,
Oui, tu sais, quelle voie, tu dois choisir,
Pour que tu te sentes, en paix,
Pour que tu vives, en paix.

Alors, après maintes réflexions,
Tu te tourneras, vers le Seigneur,
Et, comme les champions,
Tu graviras les marches, qui te mèneront, un jour vers notre Seigneur.


©CAVALCADE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX MUSIQUE PAUL DECOMBLE©

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A QUELQUES HEURES DE LA NOUVELLE ANNEE, je viens vous souhaiter à vous tous, employés de CNN et vos familles, ainsi qu'à vos fidèles interlocuteurs, et internautes du monde entier,
Une très bonne Année 2014, et moi le poète je finirais cette année 2013, en vous envoyant mon dernier photos-poème avec toutes mon amitiés
THOMAS André
THOMAS André,écrivain,poète,auteur,http://www.thomas.c.la/,
Martine ANCIAUX,photographe d’art,créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciauxmartine.fr, http://www.anciauxmartine.com,
Musique PAUL DECOMBLE
CAVALCADE, j’ai toujours été impressionné par ses chevaux au galop,
Quand comme le veut la tradition, les gardians emmènent à fond de train,
Dans la ville, Les taureaux vers les arènes,
dans la Provence et le Languedoc Roussillon cela se
Nomme l’Abrivado, j’ai été aussi surpris, dans ces tramways aux marches pieds,
Ou se tiennent les Passagers, j’ai vu le fracas du Niagara, et la vieillesse
M’a rattrapé, et maintenant je vis, j’écris sur
Les belles photos&photos-peintures de MARTINE ANCIAUX, et je les partage avec vous.

©CAVALCADE POEME DE THOMAS ANDRE©


Tels ces chevaux au galop,
Maîtrisant leur puissance, et la course de leurs galops,
Je me penche pour mieux les voir,
Tel un passager du tramway, de San Francisco, comme quelqu’un faisant un au revoir.

Alors je pense à mon voyage,
De découvertes en enchantements,
Avec le recul des années, je revois les images,
Et comme ces moments là étaient précieux, et de ravissement.

Tout mon être avec l’âge se sent moins performant,
Et je chante les louanges du seigneur,
Pour que je ne finisse pas larmoyant,
Sur mon passé, maintenant c’est l’avenir dont j’ai peur.

Quand le bruit des chutes du Niagara,
Résonnait à mes oreilles et que ma vue se gorgeait de beauté,
Alors oui, je peux le dire que c’est magnifique le Niagara,
Et que ce soit du côté canadien ou américain, ce paysage est violence et sérénité.

La musique de cette eau,
Me fait penser à une discorde musicale,
Où les notes comme les gouttes se télescoperaient en énergie radicale,
Produisant en contact l’augmentation de la puissance de ces eaux,

Ensuite, je regarderais de nouveau ces chevaux à l’entraînement,
Se laissant commander malicieusement,
Sachant que pour eux, cela n’est que plaisir,
Et que comme par amour, s’offriraient ce désir.


Alors après ces galops de manège,
Je m’offrirais avec eux, une promenade en calèche,
Comme le faisaient nos ancêtres, car ils n’avaient pas encore, et pas pour tout le monde, une calèche,
Ce moyen de déplacement, et ces chevaux de bois qui figurent sur nos manèges.

Homme, fait comme la musique, échappe toi,
Vogue, et vis à l' l’infini, pour la plénitude de ton moi,
Mais pense, à tout ce que tu dois respecter,
Pour que ta progéniture, soit heureuse, et puisse, encore se développer.

©TORNADE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS DU WEB PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE,écrivain,poète,poésie,poème,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et créatrice de la photo-peinture.
http://www.anciaux-photos.fr,http://www.anciauxmartine.com
En ce début d’année 2014, je ne peux m’empêcher de penser aux malheureux
Victimes des phénomènes atmosphériques de notre terre,
Et c’est un hommage que je leurs rends, en voulant expliquer sommairement les phénomènes,
A ma décharge, ce poème avait été écrit bien avant les tornades de 2013,
Il n’y a pas d’événementiel dans ce diaporama,
Bien au contraire je pense qu’il est temps,
De ne pas oublier toutes ces victimes dans ces villes et villages.
THOMAS André©COMME UNE TORNADE POEME THOMAS André©

 

Il y a des phénomènes qui nous laissent sans ressources,
Et souvent impossibles à canaliser,
Et surtout, très difficiles à analyser,
Car imprévisibles, on ne peut changer, ni arrêter ses sources.

 

Elle se développe, sans crier gare,
Elle peut avoir, la forme d'un cigare,
Elle s'auto alimente en permanence,
Avalant tout, sans aucune décence.

 

Semant la mort, sur son passage,
Et ne nous disant pas, son parcours de voyage,
Chevauchant, durant des milliers de kilomètres,
Et tourbillonnant, sur des centaines de mètres.

 

Elle terrorise nos vies,
Nous laissant, après elle qu'en survies.
Et nous éparpillant,
En nous laissant, comme des mendiants.

 

Et ce phénomène, nous laisse songeurs,
Nous pauvres spectateurs,
D'un spectacle ravageur,
Nous laissant tous en pleurs.

 

Et nous autres, intrigués par ce phénomène,
Nous cherchons des images,
Qui nous effraient et souvent nous amènent,
Vers la force de destruction qui engendre le chaos après son passage.

 

Arriverons nous un jour, à apprivoiser ces forces colossales,
Qui domestiquées, feraient une énergie prodigieuse,
Et nous permettrait, de bénéficier de ressources prodigieuses,
Comme la mer, et ses trésors insondables.
à toutes ces femmes, enfants, et hommes, qui ont subient ces conditions climatiques dramatiques,je leurs souhaite pour eux et leurs proches que l'année 2014 leurs apportent paix et bonheur
THOMAS André

©C'ETAIT AVANT POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX photographe d’art et créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
2014 déjà que le temps passe vite. C’était avant,terme qui signifie,jeunesse,rêve,projets,créativité,
Voyages,découvertes,jeux,amusements,danse et musique,
Mais n’oublions pas qu’au 20eme siècle, il y a eu 2
Guerres mondiales, des atrocités, et des morts, des pays détruits,
Et puis pendant la 2eme guerre mondiale, un vent de folie musicale exportait
Par les américains a à la libération donnait l’envie de faire et de vivre et d’en
Profiter, je pense que chaque personne atteint par un certain âge s’en souvient,
Mais peut-être que les jeunes du 21ème siècle ne le savent pas,
Aussi avec ce diaporama, je voudrais combler cet oubli.

©C’ETAIT AVANT POEME DE THOMAS ANDRE©


En ce siècle la, ils existaient déjà des hommes et des femmes,
Il y avait même de drôle d’adolescents,
Ils dansaient, oui, ils dansaient, bande d’inconscients,
Qui aimaient se tordre en rythme, sur une piste, avec des jeunes femmes.

Etrange société, ou les parents ne savaient, ce qu’allaient faire ces garnements,
Les reproches, contre ses adolescents pleuvaient,
Il y avait une musique en plein avènement,
Ils y avaient dans ces familles, respect et amour, entre enfants et parents, on le savait.

La musique des USA nous envahissait,
Du rock&roll, ou aussi nommait boogie woogie c’était comme cela que ça s’appelait,
Un jeune rocker, si ma mémoire est bonne, on le surnommait,
Le King, je crois que son nom était Elvis Presley, un phénomène qu’il était.

Les jeunes filles étaient en pamoison,
Quand on l’entendait à la radio,
Et que tous bougeaient dans les studios,
Car la télévision à cette époque était peu courante, il n’y en avait pas à foison.

En France, ils y avaient les yéyés,
Des individus chanteurs, complètement d’un nouveau genre,
Le rythme était leurs bases, ça donnait du genre,
Bien après on appellerait cela l’époque des yéyés.

Alors avant a passé,
Ensuite on s’est senti dépassé,
La vitesse que nous aimions tant,
Nous avait complètement surpris pourtant.

Et dans ce 21émé siècle, l’enfant, avaient perdus les valeurs,
Les drogues étaient partout,
On vivait dans un monde de peur,
La technologie nous avait assaillit à grands coups,


On appelait ces engins, des tablettes, des mobiles, des smart phones,
Ce n’était plus un téléphone,
C’était ce qu’on appelle de la technologie avancée,
Jetables, renouvelables et non réparables, juste bonne a jeté.

Prendrons nous conscience de notre auto destruction,
Programmé par on ne sait quel pole d’invention,
Et surtout pour quelles intentions,
C’est malheureusement cela, Après, notre monde en perdition.

©STARS POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINES ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE, écrivain,poète,poésie,poème, http://www.thomasandre.c.la,
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et créatrice de la photo-peinture,
Http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
La 86e édition de la cérémonie des Oscars se déroulera le 2 mars 2014,
Au Dolby Theater de Los Angeles. La liste des nommés aux Oscars 2014,
Comme un vent de folie agite le milieu des acteurs,et actrices,
Les pronostics et les spéculations vont bon train,une question se pose à leurs yeux.
Serais je, le gagnant ou la gagnante ?
Cette année le festival de Cannes aura lieu du 14 au 25 mai 2014
Encore une chance pour décrocher un titre ?
©STARS POEME DE THOMAS ANDRE©

Comme la multitude d’étoiles, qui brillent dans notre ciel,
Comme les couleurs magnifiques des arcs en ciels,
Le cinéma a inventé les vedettes,
S’autorisant des transgressions, dans les scénarios pour cause des vedettes,

En créant des films, pour tel acteur, ou actrices,
Leur procurer des rôles sur mesure, pour obtenir des victoires salvatrices,
Que l’ont nomment, des prix,
Oeuvres tendres, violentes, de sciences fictions qui finit par n’avoir pas de prix,

En effet, la surenchère aux effets spéciaux,
Aux oeuvres de fictions réalités,
Ou à des films catastrophes, aux fonds d’histoire réalités,
Créer en nous, du suspense, de l’angoisse, du stress, ou les matériaux,

Modifient et génèrent l’action,
Ou la musique, nous transposent dans un climat,
En englobant nos sensations,
Et en nous livrant par l’image, à d’autres dimensions.

Tout individu à besoin de reconnaissance,
Pour se sentir exister, sans pour que cela se soit de la suffisance,
L’acteur, qu’il soit homme ou femme, a besoin de s’exprimer face au public,
Pour se sentir aimer par ce public,

Ces stars, comme on les appellent,
Ne sont pas, que des êtres, fait de strass,
Malgré les moyens financiers énormes, qui nous interpellent,
Ils sont d’abord humains, et le prix pour eux, conquis, est plus que leurs vies de strass.

Ces moments intenses, à Los Angelès, sont la cérémonie des oscars,
A Cannes, la remises des palmes d’or,
Fortifiant ces personnages, par l’attribution de ce sésame en or,
Qui leur permettra d’exploser, aux yeux du monde de monnayer leurs oscars.

©LA VIE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE, écrivain,poète,poésie,poème, http://www.thomasandre.c.la,
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et créatrice de la photo-peinture,
Http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
Musique: MA VIE GINETTE RENO
La vie, point de certitude, une constante, vivre, ou survivre,
Suivant le continent de naissance, point de sécurité,
Juste l’incertitude, et le vouloir réussir sa vie,

©LA VIE POEME THOMAS ANDRE©

La vie, c’est d’abord un univers,
C’est aussi, une certaine chance,
Où peut être aussi, une malchance,
Suivant le lieu de naissance, dans notre univers.

Car, force est de constater, que le point de chute,
Pour une naissance, peut accroître les tensions,
Et même, engendrer parfois, plus ou moins, des dissensions,
Au bridge, quand un contrat, n’est pas remplit, on parle de chute.

Si tu nais, dans un pays pauvre,
Ton espérance de vie, sera moindre,
Que si tu as la chance, de naître dans un pays riche, et le soleil viendra poindre,
Sur cet avenir doré, ou difficile du pauvre.

Je ne sais pas, si cela vous est déjà arrivé, ou vous interpellera un jour,
Mais moi, dès que j’ai eus l’âge, de me poser des questions philosophiques,
Une multitude d’interrogations, se sont fait jour, plus ou moins catastrophiques,
Quand, dans l’incapacité de mon raisonnement, je ne trouvais pas de solutions, ni de recours.

Car vois tu, qui peut savoir toutes ces choses là ?
A part un être, qui nous surclasse, par toute sa grandeur,
Dans sa vision globale, et projette tout cela,
Sur notre terre, pour nous humains, c’est DIEU dans toute sa splendeur.

La vie sur terre, est peut-être chez nous chrétiens, une sorte de purgatoire,
Ou nos actes sont répertoriés,
Avant d’être analysés, pour plus tard être inventoriés,
A l’heure de notre dernier souffle, et si nous sommes justes, éviter le purgatoire.

©LE BONHEUR POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE, écrivain,poète,poésie,poème, http://www.thomasandre.c.la,
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et créatrice de la photo-peinture,
Http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
En cette période, de Saint Valentin, fête des amoureux,
Quoi de plus naturel, que de définir, et Parler, du BONHEUR.

Le bonheur d’être amoureux,
Le bonheur de vivre heureux,
Le bonheur d’irradier de la joie,
Comme ses sœurs catholiques, qui parlent de foi.

Comment mieux faire sentir, ce photo-poème
Qu’avec la chanson, de Jacques Brel, la quête,
Interprété, par la formidable Ginette Reno.
©LE BONHEUR POEME THOMAS ANDRE©


Comme une fleur introuvable,
L’homme, ou la femme, sont à la recherche de ce moment véritable,
Celui auquel, tout être se sent au diapason,
En harmonie totale, avec son moi, et se substitue à la musique de son son,

Une plénitude,
Une béatitude,
Un sommet dans ses sensations,
Un partage total de son esprit, et ses sensibilisations.

Un moment de croyance, pleine, en la vie,
Pour assumer totalement, sa propre vie,
Cet instant, c’est le summum de l’espérance,
La force, et la puissance, contre l’impossible, et son insistance.

Car enfin, que dur, est à trouver, ce moment béni,
Que tout le monde défini,
Comme l’assouvissement total, de son destin,
Le virage positif, en son chemin.

Qui, ne l’a pas cherché,
Qui, ne l’a pas espéré,
Qui, ne l’a jamais recherché,
Qui, enfin, que cet être tant désespéré.

Je n’ai pas, la recette du bonheur,
Mais si je l’avais, je n’oublierais pas, d’ôter le malheur,
Et de mettre en avant, cette quête,
Cette recherche de ce trésor, et sa conquête.

Pour voir des sourires autres, que chez les bébés,
Pour que la vie, soit une avancée, comme la croissance de ces bébés,
Mais c’est malheureusement, un vœux pieux,
Comme ce malheur, qui pour l’instant me transperce, comme un épieu.

Cherche, ta quête, tu peux la trouver,
Ne désespère pas, elle est parfois longue à trouver.
Vie de recherche, du bonheur, et de l’amour,
Fait que mes pas, me guident, vers ce but du toujours.

©L'INFIDELITE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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THOMAS ANDRE poète,écrivain,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX photographe d’art, créatrice de la photo peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com ,
L’infidélité, un concept de vie pour certains, dont les valeurs sont,
Le mensonge, et la duperie, ainsi que l’hypocrisie.
Qui n’a pas connu, des enfants dans ces jeunes années,
Qui se sentaient trahis,
Par leurs pères, ou leurs mères infidèles.
A notre époque complètement dépréciée,
On veut montrer la traîtrise, la roublardise, le fait, de faire du mal,
À soit disant, celle qu’on aime, comme une chose tout à fait normale.
Quelle grossière erreur, dans les valeurs qu’ils restent dans notre société.
En effet, ne pas respecter la femme qu’on aime, ou qu’on a aimé, est indigne
De l’être humain, surtout qu’à notre époque, il n’existe presque plus de mariages,
Suite au dénigrement de son concept par ce gouvernement,
Alors oui, dire à la personne intéressée,
Qu’on la trompe, c’est faire acte de franchise et de respect de l’autre.
Moi qui ai en aberration l’infidélité, j’ai voulu mettre en vers, ce mot,
Qui pour moi, est une insulte, pour les êtres humains.

©L’INFIDELITE POEME THOMAS ANDRE©

C’est le royaume de la tromperie,
C’est le monde de la duperie,
C’est le domaine de l’hypocrisie,
C’est le moyen des lâches et de la sournoiserie.

Il est des femmes, et des hommes, dont l’infidélité est leurs valeurs,
Peu importe pour l’autre les douleurs,
Incapable de vrais sentiments,
Ce sont des individus qui ne vivent qu’en se fourvoyant constamment.

Se jouant des êtres, que soient disant, ils aiment,
Ils sont inaptes à comprendre, cette nécessité de l’unicité
Ce besoin que tout être devrait connaître, la sincérité,
Egoïste comme il y en a peu, ils s’aiment.

Laissant derrière eux, les pleurs,
Jouant souvent de leurs pouvoirs,
Pour éblouir et s’octroyer a ce qu’il pense tous les avoirs,
Sans se rendre compte d’engendraient que des malheurs.

Peu importent les dégâts qu’ils occasionnent,
Là, n’est pas leurs problèmes, ils faut qu’ils se positionnent,
Pour assouvir leurs soif de conquêtes,
Leurs plaisirs étant leurs principales requêtes.

Sont ils des hommes, ou des femmes, au sens juste du terme,
Celui des sentiments, celui de l’amour, de la compréhension,
Je ne le pense pas, car si peu enclin au vrai terme,
Celui de l’amour unique, fort, et de grande dimension,

Que la blessure de l’outrage, serait terrible, et plus une vie,
Que le chagrin occasionnait, ferait rompre le lien,
Que cette masse de malheurs accumulés dissolverait le lien,
Celui du mariage, et du partage, enlevant l’amour de sa vie.

Nous en avons connu de ces personnages, un que l’on nommé le roi de l’anaphore,
Toujours enclin à des mots peu comiques, mais surfant sur l’anaphore,
Semant enfants comme moissons,
Et les laissant là, pour s’encanaillait de sa dernière soit disant passion.

Plus, dure sera la chute,
Car, là, point de parachute,
La disgrâce étant le point de non retour de la liaison,
Afin, que le tombeur, puisse continuer à son gibier, sa prochaine liaison.

©LA PLUIE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX MUSIQUE PAUL DECOMBLE©

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THOMAS ANDRE http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX photographe d’art et créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,MUSIQUE PAUL DECOMBLE.
Apres cet hiver colossal par les tempêtes, ainsi que par les très grosses pluies,
j’ai voulu mettre des mots sur des gouttes d’eau, qui peuvent s’avérer catastrophiques.
LA PLUIE, un terme magique,synonyme de vie,de rêve,de moissons,de nourriture,
Mais qui peut être son contraire, avec les inondations, les cours d’eaux en torrent,
Les habitants évacuant des logements en proie à la fureur de l’eau, les gens isolés, les noyés,
Ce seul élément, la pluie est double, avantages et catastrophe
PLUIE POEME THOMAS ANDRE


Elle frappe sur le sol avec insistance,
Comme une force d’une telle puissance,
Que les objets frémissent d’impuissance,
Elle se sert d’eux comme d’une caisse de résonance.

Sur eux, elle innove en musique,
Créant des bruits magiques,
Que l’on trouverait bizarres, en rythmique,
Changeant les codes d’harmonies, presque cyniques.

Elle invente des mélodies différentes,
Qui provoquent en nous, comme des formes apparentes,
Mobiles et véhiculées par le vent,
Elle joue de son unicité comme d’un paravent.

Démontant tout mécanisme de précision,
Elle s’insinue avec passion,
Dans chaque espace,
Et occupe tout cet espace.

Sur nos pares brises, elle se fracasse,
Obturant notre vue, et faisant que notre vue se tracasse,
A deviner chaque mouvement,
Que nos yeux devinent subtilement,

Quand sa frappe augmente,
Alors, on commence à craindre les inondations,
Et cette eau, n’est plus la bienvenue, elle nous condamne à l’immersion,
Provoquant en nous, panique qui s’intensifie quand son niveau augmente.

Alors de bienfaits,
Elle devient méfaits,
Laissant habitants, et maisons, livrés à sa fureur,
Et c’est là, qu’elle devient malheur.

Nous qui l’aimons, quand elle irrigue normalement,
Nos terres, et nos rivières, elle peut devenir notre ennemi méthodiquement,
Ne laissant rien au hasard, elle martèle notre patience,
Et nous laisse dans le désarroi, et l’impatience.

©LE BLUES POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURE MARTINE ANCIAUX PHOTOS DU WEB©

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THOMAS ANDRE, écrivain,auteur, poète,http://www.thomasandre.c.la/,
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
Le blues: genre musical vocal, et instrumental, dérivé des chants du travail
des populations afro-américaines, apparues au Mexique, et aux Etats-Unis.
Le chanteur ou le musicien exprime sa tristesse, ses déboires, d'où l'expression: avoir le blues.
Le blues a eu une influence majeure, sur la musique populaire américaine,
puisqu'il est à la source du jazz, R'n'B, et rock 'n' roll, entre autres.
©LE BLUES POEME THOMAS ANDRE©


C’est une musique, de larmes, et de pleurs,
Vocale et instrumentale, elle me fait penser aux complaintes,
Elle s’identifie à une histoire personnelle, où les pleurs,
Et la tristesse se transforment en plaintes.

Comme ces harmonicas qui semblent pleurer,
Dans les mains, de ces artistes de blues,
Lorsqu’on est triste, on dit on a le blues,
C’est l’expression d’une sensibilité, à un instant donneé, et intérioriser.

Une musique qui vous pénètre, au tréfonds de vous-même,
Qui vous entraîne,
Qui vous enchaîne,
Dans le gouffre du désespoir, et en même temps, vous aide à voir en vous-même.

Comme une lanterne qui vous guiderait,
Pour vous indiquer le chemin,
Comme un plan sur un parchemin,
En vue de vous faire trouver, la lumière qui vous éclairerait.

Amenant en vous, ce soulagement,
A cette tristesse, qui vous assiège au plus profond,
La puissance, de cette musique, aurait en fait un effet bénéfique, au fond,
Car dans votre sombre destin, elle montrerait la voie du cheminement,

Pour vous permettre, de vous rendre compte,
De votre situation, et de l’instant de reprise,
De votre vie, par votre sensitivité, et de laisser pour compte,
Cette sombre destinée, que votre cerveau vous gardé comme surprise.

Le blues, c’est l’expression d’une grande douleur,
Que l’on exorcise dans une musique,
Afin de canaliser tout ce que votre esprit revendique,
Et que, une fois exprimé, il fera fuir le malheur.

Ces artistes de blues, sont le summum de la perception,
Il jouent et vivent leurs morceaux, à la perfection,
Engendrant en nous, une sensation de chagrin,
Qui nous abat, et en même temps, nous galvanise à sortir du chagrin.
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