CNN iReporter poete1928

THOMAS André,écrivain,poète,poème,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art et créatrice de la photo-peinture http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
En cette fin d’année olympique et paralympiques, j’ai voulu donner
Un coup de chapeau à ceux qui nous ont fait vibrer et entendre
Avec grande fierté nos hymnes : ce sont les athlètes du monde entier.
Ce photo-poème leurs est dédié.

LES ATHLETES POEME THOMAS ANDRE

Un seul mot à la bouche,
Seul un mot les touche
Gagner pour pouvoir vivre,
Sinon la passion n’est que survie.

L’esprit de victoire,
Rempli leur fol espoir,
Pour eux pas question du désespoir,
L’entraînement ne peut être que source de victoire.

Un seul objectif finir le premier,
Pouvoir apprécier la performance,
En établissant un nouveau record le premier,
La bataille contre ses adversaires profite à sa performance.

Dans son couloir la concentration est optimum,
Il faut s’imposer et donner son maximum,
L’incompréhension serait totale si on se consolait du minimum,
Le voyant du réel plaisir est l’aboutissement au summum.

Quoi de plus glorieux,
Et même de plus prestigieux,
Que d’entendre l’hymne de son pays,
Et rapporter une médaille d’or à ce pays.

Plus que la victoire,
C’est la recherche de la gloire,
C’est la consécration de toute une vie,
Le soleil des efforts consentis.

A la réception de la récompense,
Surgi un flot d’émotions,
Qui submerge et annihile la tension,
La puissance du vedettariat devient une conséquence.

THOMAS André écrivain poète et poèmes http://www.thomasandre.c.la/ ANCIAUX Martine, photographe d’art,créatrice de la photo-peinture, http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
NOEL un symbole pour les chrétiens, c'est la naissance de l'enfant DIEU, son nom Jésus Christ.
Parallèlement des enfants du monde entier, attendent la venue du Papa Noël, l'hommes au traineau et aux rennes, qui ne l'ont jamais dit à personne mais qui se déplace à la vitesse de la lumière.
C'est pour cela que le Père Noël peut gâter tous les enfants sages.
Petits enfants, sachez que la sagesse, est le début de l'apprentissage pour être un homme.
Joyeux Noël à tous ET AUSSI PARTICULIEREMENT AU PERSONNEL DE CNN AMITIE THOMAS André

©NOEL POEME THOMAS ANDRE©

Au plus loin que je me rappelle
Une petite voix m’interpelle,
Comme des millions d’enfants, j’attendais cet instant avec un peu de confiance,
Devant ce sapin, mon espoir serait bientôt une délivrance.

Pensant bien que l’enfant sage
Que j'étais, aurait dans son soulier plus qu'un message
Du père Noël, et que c’est vrai malgré quelques bévues,
Dont en fait, je n’étais pas fier à première vue.

Il devenait inconcevable que Papa Noël m’oubli,
Il ne le pouvait pas me laisser dans l’oubli,
Ce moment si sacré pour nous chrétiens, et aussi la naissance du fils de DIEU,
Et nous donne l’occasion de nous rapprocher de DIEU.

Dans cette période qui devrait être si joyeuse,
Il y a des gens dans le doute et la peine,
La maladie et l’absence qui multiplie la peine,
Pendant cette période de fêtes, qui pourtant doit être joyeuse.

Comment concevoir la vie sans la perte,
Comment concevoir l’absence sans les pleurs,
Et son lot de douleurs,
Nous inondons de tracas, et nous éloignant de la fête en courant à notre perte.

Et quand le vieux monsieur, que je suis devenu, entendra résonner les chants de Noël,
Alors toute la magie recommencera pour célébrer Noël,
Et songer à partager un brin de bonheur,
Pour faire a jamais partir le malheur.

JOYEUX NOEL A TOUS LES HOMMES DE BONNE VOLONTE,
ET QUE REGNE EN NOUS ET AUTOUR DE NOUS CETTE PAIX,
QUOI DE PLUS RICHE QUE D’AVOIR DES AMIS,
QUOI DE PLUS BEAU QUE POUVOIR PARTAGER LA VIE AVEC SES AMIS.

THOMAS André,écrivain,poète,poème,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art et créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
A l’heure ou les alcools, et champagne et digestifs pleuvent
En cette fin d’année, moi je vais vous faire déguster un petit noir
appelait aussi le café, comme chaque soir je vois Georges Clooney
prendre son fameux nespresso et prononcer sa phrase célèbre what else.

©CAFE Poème de THOMAS André©

A l’heure ou chaque soir je vois George CLOONEY,
Dégustait un superbe café,
Avec des femmes très belles, qui l’envoient au vestiaire, ce pauvre Clooney
Je repense à l’histoire du café.

Moi qui suis, un grand amateur,
Ne peut m’empêcher d’être aussi un fervent détracteur
Du mauvais café, celui où l’eau remplace le produit,
Cela m’est déjà arrivé, et autant vous dire que ce n’est pas fortuit.

En effet faire du bon café, est comme un art,
Savoir doser, pour mieux le préparer,
Et nous permettre de le déguster, dans la manière et l’art,
Comme celle du thé qui lui aussi et si difficile à préparer.

Le café né à partir des graines du caféier,
Culture très développée, comme celle des bananes, dans de nombreux pays tropicaux,
Dans des plantations ou sont cultivées, de très nombreux caféiers,
Pour les marchés d'exportations, asiatiques comme occidentaux.

Malheureusement, le prix du café est lié au marché,
Il n’est pas rare de voir les cours flambés sur le marché,
De la bourse des matières premières de CHICAGO,
Ville du président des USA, Barack Obama et de la first Lady sont de CHICAGO

Le café, une denrée d'origine agricole échangée sur les marchés internationaux,
Son goût, sa dégustation, sont très prisés, par nous, sujets nationaux,
Et aussi bien chez les orientaux,
Que par la très large majorité des occidentaux.

Une boisson digne des rois, que nous Français, aimons prendre entre amis,
Souvent aussi, pour se motiver sans soucis,
Et affronter les réalités,
Que la vie parfois ne se lasse de nous envoyer, en vérité.

THOMAS ANDRE, poète et écrivain, http://www.thomasandre.c.la/
Je me suis inspiré des magnifiques photos & photos-peintures,
De la photographe d’art, créatrice de la photo-peinture
MARTINE ANCIAUX http://www.anciaux-photos.fr http://www.anciauxmartine.com ,
Ce photo-poème est enregistré avec les Musiques de PAUL DECOMBLE
La brume: fines gouttelettes,où fins cristaux de glace,phènomène physique
Quand l’atmosphère est saturé en humiditè. Cela se nomme une définition dictionnaire.
Quand par la fraîcheur de la nuit, au lever du soleil, un voile épais recouvre les prairies,
Je me sens transporté, par cette brume, qui permet aux animaux, et même aux humains,
De se dissimuler, sans le chercher, en pleine nature, mais aussi sentir cette humidité
Qui te pénètre et te glace les os, alors le poète cherche le biais à cette froideur,
Dans ce mur de silence qui l’entoure, il interprète un concerto de mots, et s’épanche
en douceur sur son bloc, là il sera prêt à accepter les mauvaises conditions du temps.

©BRUME POEME THOMAS ANDRE©

Quand au point du jour, l’horizon est pris par la brume,
Inconsciemment, je sens poindre l’hiver,
Alors la blancheur, revêtira ces arbres dans le lointain couvert de brumes,
Et la neige leur offrira leurs vestes d’hiver.

Les ensevelissant d’une couche épaisse et mœlleuse,
Semblant les protéger comme logés dans une caisse,
Pour une expédition lointaine,
Les enveloppant comme un cadeau de Noël d’une façon prodigieuse.

De la rive, je vois se lever notre soleil,
Souvent sa couleur me fascine,
Et je reste en pleine réflexion, devant la beauté de notre soleil.
Comme les enfants en s’endormant après une comptine.

Au loin dans la vallée la terre arrive à se confondre au ciel,
Surtout, lorsque ce voile épais, recouvre les versants,
Donnant une impression de butée à notre regard pourtant si persan
Alors comme pour se repérer mes yeux se portent vers le ciel,

Et je constate avec stupeur,
Le peu de champs qui s’offre à ma vue,
Et cherchant dans ma tête un repère, je constate avec terreur,
Que point n’en trouve, sur cet axe convenu.

Aussi je sens en moi, un besoin de prière,
Et je m’épanche vers DIEU,
En formulant, à voix haute ma prière,
Comme un cri de malaise, ma voix et mon regard convergent vers DIEU.

Me sentant comme mes ancêtres incapable de trouver mon chemin,
Je crie ma peur pour qu’il me montre le chemin.
Une impression diffuse se propage en moi,
Une certitude se fait jour, et là je sens ma foi,

Qui me permet de mieux juger,
De mieux apprécier les inconvénients,
Témoignant en mon corps une certaine réalité à mieux jauger,
Me donnant une force pour affronter cette difficulté sereinement.

Viens le temps du raisonnement,
Finis le manque de jugement,
Comme par miracle, cette incertitude au fond de moi disparaît,
Laissant place à une résolution qui transparaît.

La brume hivernale nous conforte dans la joie,
Celle de la crèche et la venue de l’enfant JESUS,
Le père Noël participant à la fête, apportant lui aussi des cadeaux, à l’enfant JESUS.
Et me rappelant la magnificence de NOËL et sa joie.

THOMAS André,écrivain,poète,poème,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art et créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
La poésie c’est l’art de mettre en vers des phrases, pour créer des sonnets,
Des alexandrins,des quatrains,une musicalité en harmonie,
Pour unir au plus juste des mots en leur donnant une tonalité.
©POETIQUEMENT VOTRE, ©THOMAS ANDRE©

Il est des fois, ou le besoin de poésie se fait sentir,
Où le language écrit, dégage plus de sentimentalité,
Ou la lecture, engendre un bien être instantané,
Si tu as un moment, lit mes poèmes pour mieux te sentir.

Alors ton sens critique, me dictera mes erreurs,
Où me donnera des petits bonheurs,
Et tes bonnes remarques créeront en moi une évolution
Et feront foisonner mon inspiration.

Enfin, je ferai, suivant les thèmes, des quatrains,
Et je vous les diffuserai avec entrain,
Bien sur, pour moi, ils seront beaux,
Mais vos yeux avertis, m'empêcheront de faire le beau.

Et comme le parfum de la rose,
Je me griserai de phrases et t’envahirait de ma prose,
Te faisant découvrir en toi ton âme romantique,
Celle qui si pudiquement tu as rangé avec ton air nostalgique,

Alors je demanderai de l’aide pour qu’elle vienne à mon secours,
Car ces mots sont images, et c’est là son recours,
Nous donner une représentation graphique, de mon vocabulaire,
Pour mémoriser, visuellement mes syllabes, et en développait son inventaire.

Enfin je matérialiserai mes pensées,
Et cette photographe, m’ouvrira l’horizon de lumière, de ces secrètes pensées,
Celles que je veux partager, avec l’humanité,
Pour pouvoir énoncer ma vérité,

Celles de ces photos, qui m’ouvrent un nouveau monde,
Et m’engloutit tel un trou noir, dans le dévoilage physique,
Représentatif de cet autre monde,
Celui de la matière, et de notre vie si caractéristique,

Ou subjugué par mes idées, vous m'encenserez,
Et alors, enrichi de vos messages, vous me libérerez
Tel un oiseau, au dessus du firmament,
Je clamerai alors, mes vers à tous les vents.
©THOMAS ANDRE©.

TRADUCTION EN ANGLIAS PAR GOOGLE TRADUCTEUR

© YOUR poetically, THOMAS ANDRE ©

There are times, poetry or need arises,
Where the language written off more sentimentality
Or reading creates a welfare instant
If you have a moment, read my poems to make you feel better.

So your critical sense dictate me my mistakes,
Which give me little pleasures,
And your good remarks create in me a change
Will abound and my inspiration.

Finally, I will, according to the themes, quatrains,
And I will spread you with enthusiasm,
Of course, for me, they are beautiful,
But your eyes warned me to prevent the beautiful.

And like the fragrance of the rose,
I griserai phrases and you invade my prose,
Making you discover you your romantic soul,
Which if you discreetly stored with your nostalgic,

So I ask for help for her to come to my rescue
Because these words are images, and this is his appeal
We give a graphical representation of my vocabulary,
To store, visually my syllables, and developed its inventory.

Finally I matérialiserai my thoughts,
And this photographer, I open the horizon of light, these secret thoughts,
Those that I want to share with humanity
To state my truth,

Which of these pictures, which I open a new world
And swallows me up like a black hole in the truing physical
Representative of that other world,
That matter, and so characteristic of our lives,

Or overwhelmed by my thoughts, you encenserez me,
And then enriched your messages, you will release me
Like a bird above the firmament,
I clamerai then my verses to the winds.
© THOMAS ANDRE ©.

THOMAS ANDRE http://www.thomasandre.c.la/
Je me suis inspiré des magnifiques photos & photos-peintures
De MARTINE ANCIAUX photographe d'art et créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
MUSIQUE DE PAUL DECOMBLE.
Ceux qui n’ont jamais eut d’animal, ne peuvent comprendre,
Le lien très profond, qui unit l’homme à l’animal, c’est plein de petites attitudes,
Des 2 côtés qui ont scellés leur amitié, toujours présent et attentif,
Compréhensif aux sautes d’humeurs, peu avare de caresses et de tendresse,
Comme un calmant dynamique dans notre vie de folie, motivant le plaisir à la vie,
Un appel à la sérénité absolue, avec la puissance des sentiments

©ANIMAL MON AMI POEME THOMAS ANDRE©

Les sentiments sont indéchiffrables,
Souvent les gens bien pensant soit disant les trouvent critiquables,
Laissant entendre la trop grande portée de cette amitié,
Où le maître devient redevable et complètement pris de cette amitié.

Prenons les chiens d’aveugle,
Pour cet homme à la canne blanche,
C’est un réconfort que ce compagnon si réceptif à sa cécité d’aveugle,
Il lui donne tant de tendresse, qu’il se sent presque sans canne blanche.

Prenons ses dresseurs,
Chaque jour ils se mobilisent et s’investissent, pour une vie entière,
Pour arriver à matérialiser les performance de leurs nageurs,
Qui oserait dire, qu’il n’y a pas d’amitié, dans ces relations si particulières.

Nous sommes des animaux,
Qui de nous n’est pas sensible à la douceur,
Qui peut vivre dans la terreur,
Aucun de nous, nos réactions sont celles de nos animaux,

L’écoute de l’autre pour partager,
Pour pouvoir soi même donner,
Et de ce fait essayer de se comprendre,
Pour pouvoir, un jour de son ami, apprendre.

Dans le métier d’éducateur, il y a l’amitié,
La compréhension, le fait de connaître,
Et c’est ce fait, qui chaque fois peut transparaître.
Et qui renforce les liens de l’amitié.

L’incompréhension, dans la place qu’occupe un animal
Est un manque de raisonnement,
Cette place il l’a acquise avec tout son comportement,
Avec toute sa gentillesse, lui qui est comme nous un animal.

traduction google

© ANIMAL MY FRIEND POEM THOMAS ANDRE ©

Feelings are indecipherable,
Often good people are thinking or saying the criticism,
Suggesting the excessive scope of this friendship,
Where the master becomes liable and fully taken this friendship.

Take the dogs,
For this man to the White Cane
It is a comforting companion that so receptive to his blindness blind
He gives so much tenderness, he feels almost white cane.

Take his trainers,
Every day they mobilize and invest for a lifetime
To get to materialize their performance swimmers,
Who would dare to say that there is no friendship in this relationship so special.

We are animals,
Who among us is not sensitive to sweetness,
Who can live in terror
None of us, our reactions are those of our animals,

Listening to the other to share
To give oneself,
And thus try to understand,
To one day his friend learn.

In the teaching profession, there is friendship,
Understanding, knowing,
And it is this fact, which may be reflected every time.
And strengthens the bonds of friendship.

The misunderstanding in the place of an animal
Is a lack of reasoning,
This place he gained all his behavior,
With all his kindness, he who is like us animals.

THOMAS ANDRE écrivain, poète, poésie, poème http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX photographe d'art et créatrice de la photo-peinture
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PHOTOS DE LA NASA,
L'homme est un aventurier sur sa petite terre, et veut apprendre à connaître tous
Son environnement faune, flore, océans, espace,
Alors il y eut la conquête de l’espace, match impitoyable entre russes et américains,
Puis vinrent les européens avant que tout ce petit monde se regroupent vu le
Coût insupportable pour continuer à découvrir le monde des planètes et des galaxies.

©Espace Poème de THOMAS André©

L'homme, vis à vis de l'espace, est un chercheur,
Convaincu de pouvoir, tout identifié, comme le fait un procureur,
Cherchant toujours la faille, pour exprimer son opinion,
il s'est lancé un défi, tout de ce monde en superposition.

Celui là même, qu'on désigne comme le Cosmos.
Le seul problème, est que nous n'avons pas les clefs, de ce Cosmos,
Matière, vide sidéral, trous noirs, galaxies, étoiles, planètes,
Nous sommes des lilliputiens de notre planète,

Cherchant à s'auto convaincre, que nous maîtrisons tout,
Par les nombreux satellites, envoyés de partout,
Pour observer notre ciel, et nous instruire,
Afin qu'avec nos moyens, des engins, nous puissions construire.

La marche sera très longue,
Pour une connaissance déjà minimum de notre galaxie,
Il faudra, d’abord apprivoiser la vitesse de la lumière, pour visiter cette galaxie,
Connaître parfaitement toute nos planètes sera une tache longue.

Puis s’extraire de ce système solaire,
Pour vérifier nos alentours,
A quelques parsecs de chez nous, de beaux détours,
Pour pouvoir apprécier au dessus de nous, notre monde planétaire.

Le plus dur ne sera pas d’y partir,
Mais surtout comment en revenir,
Sachant que le temps évolue différemment,
Entre l’espace et la terre, je ne sais pas sérieusement.

Alors, comme le petit poucet, qui jetait des petits cailloux,
Nous parcemerons des points d'encrages, repères comme ses cailloux,
Nous permettant de naviguer dans l'espace,
Afin de maîtriser notre rêve, la conquête de l'espace.

THOMAS André,écrivain,poète,poème,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art et créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
En cette période de grand froid,je vous invite à connaître LA PROVENCE,
une terre de mer,culturelles,de cultures agricoles,de soleil,de traditions,
dominé par les phéniciens à Marseille,
il y a plus de 2600 ans, les grecs et les romains,
le passé romain est inscrit sur cette terre voir
les arènes de Nimes et d’Arles et le Pont du Gard près d’Uzés

©PROVENCE POEME THOMAS ANDRE ©

A l’ombre de ces platanes, j’ai vu courir ma vie,
Les regardant me voir grandir, pour faire ma vie,
Eux centenaires, en ont vu des histoires,
Et les ont stockées comme dans un répertoire,

Aux joueurs de boules,
Qui s’affairent sur ces boules,
Comme un trader sur la bourse,
Il me faut têter le cochonnet pour être toujours en course

Ensuite, il y a ces champs de lavandes,
Où la couleur mauve soutenue, force le regard,
Et où butinent des milliers d’abeilles, pour nous faire du miel de lavande.
Emerveillé comme un peintre qui mémorise son regard.

Comme VAN GOGH avec ses fameux tournesols,
D’autres s’y sont essayés en mirant ces étendues de tournesols,
Fleur du soleil, si il en est, lumineuse à souhait,
Et qui nous enchante de bienfaits

Comme le soleil qui sans lui, nous serions tellement malheureux,
Des provençaux sans lumières ne peuvent pas être heureux,
Ici, quand l’éteint point, des grésillements se font entendre,
Les cigales donnent leurs récitals, c’est merveilleux à entendre.

Quand ensuite les tomates rougissent,
Et que le sol commence à se craqueler,
C’est cela l’été, l’ombre devient refuge, face aux températures qui réagissent.
Le thermomètre s’affole avec insistance, il ne cesse de s’élever.

Alors l’olivier souverain,
Accepte avec douceur cette température d’airain,
Que même nous du coin avons du mal à supporter,
On dit, c’est du plomb, pour le relater.

Et si la Provence était sans la mer,
Il faudrait la créer, pour qu’elle répande son bonheur.
La vérité, ici la mer,
C’est la compagne du pêcheur,

La joie des baigneurs,
L’attraction du touriste,
Le livre à la mémoire des acteurs,
La vitrine, pour nous noyer de touristes.

Ensuite, il y a Marseille,
La capitale du pastis,
Son olympique de Marseille,
Son stade vélodrome, où quand la défaite est là, alors là gare aux pastis.

Et pour surveiller tout cela, il y a la Bonne Mère,
La protectrice de cette ville, et comme une mère,
Elle veille sur ses enfants,
Si turbulents mais qui sont aussi bons enfants.

THOMAS ANDRE écrivain, poète, poésie, poème http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX photographe d'art et créatrice de la photo-peinture
http://www.anciaux-photos.fr http://www.anciauxmartine.com
A quelque jour de la 85eme cérémonies des oscars, j’ai voulu rendre hommage
En poésie a tous ces grands acteurs vivants et disparus qui nous ont fait croire leur vérités le temps d’un film.
L’OSCAR, la récompense suprême de l’acteur ou de l’actrice,
La consécration à HOLLYWOOD pour le meilleur film,acteur,actrice,musique,ou scénario,
Ou réalisateur,une cérémonie qui tient en haleine la planète cinéma dans le monde entier,
C’est un grand honneur pour un pays d’avoir un oscar.

©L’OSCAR POEME THOMAS ANDRE©

Chaque métier public à ses propres consécrations,
Elles sont soit spécifiques dans les états nationaux,
Reconnues et renommées sans contestation,
Et préfigurent des classements hiérarchiques internationaux.

Que ce soit, dans la catégorie musicale,
Où elles se nomment, les Grammy Awards,
A ne pas confondre, avec celles de la télévision mondiale,
Qui, elles s’appellent, les Emmy Awards.

Au cinéma, ce sont soit la Palme d’Or,
Distinction dans le festival de Cannes un des plus côtés du monde,
Avec celui de Los Angeles qui se nomme l’Oscar et vous ouvre le monde,
Même si le trophée n’est que plaqué d’or.

Véritable sésame pour le vainqueur,
Il implique la récompense du meilleur,
Que ce soit parmi les actrices,
Ou chez les supportrices,

Pour les hommes, l’Oscar du meilleur acteur,
Rime souvent avec l’attribution, de l’Oscar du meilleur film,
Consacré par le meilleur scénario, qui fait éclater le jeu de l’acteur,
Ensuite vient la meilleure musique de film,

Qui souvent rafle d’autres prix,
Et qui finit par rapporter, un nombre incroyable de prix,
Et surtout une notoriété fantastique,
Au compositeur, qui devient plus que recherché, sur le marché du disque.

Pour remporter ces récompenses, il faut des qualités,
Qui finissent par se voir en quantités,
Quand dans le film ressort, pleinement la personnalité,
Du grand rôle, et que l’on se sent comme aspiré par son efficacité,

Alors, on ne peut se tromper évidemment,
C’est certainement le meilleur, qui sera primé sûrement,
Et puis se découvrira aux spectateurs,
Dans son rôle de très grand acteur.

Et c’est à Hollywood, où à Cannes,
Lors de sa remise de trophée,
Lorsqu’il brandira son trophée,
Son étoile, et ses mains, seront immortalisées à Hollywood Boulevard, où sur la Croisette de Cannes

THOMAS ANDRE,écrivain,poète,poésie,poème http://www.thomasandre.c.la/
J’ai voulu rendre hommage aux formidables photos&photos-peintures, de
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et crèatrice de la photo-peinture.
http://www.anciaux-photos.fr http://www.anciauxmartine.com
Ses créations me permettent, de trouver l’inspiration, pour pouvoir créer mes poèmes.
Ils investissent le mot, par la puissance de la photographie, développant
La sensation de mettre en ligne, un mot imagé, qui souligne la capacité et
La matérialisation physique du poème.
Pour tout ce ressentit, j’ai voulu la mettre en valeur,
Par mes mots choisis, pour écrire mon admiration.
THOMAS André.

©THOMAS ANDRE : LA PHOTOGRAPHE D’ART
CREATRICE DE LA PHOTO-PEINTURE
« MARTINE ANCIAUX »©

La lumière de vos photos,
La créativité qu’il s’en dégage,
Nous achemine vers le rêve en gage,
Et nous voyageons à travers vos photos.

Illuminant notre vie moderne,
Car grâce à elles, on s’éloigne de la terre ferme,
Et nous virevoltons d’une image,
Vers de somptueux rivages.

En découvrant ces visages,
Cachés par des masques, qui nous dévisagent,
Attirés par ces couchers de soleil,
Notre attention est captée, et reste en éveil.

C’est là qu’interviennent vos créations photographiques,
Qui nous emmènent dans des univers fantastiques,
Ou bien même vers des sensations philosophiques,
Et subliment en nous tous ces univers graphiques.

Quelle beauté dans ces photos merveilleuses,
Qui nous permettent de vivre des minutes délicieuses,
En nous sensibilisant à la capture de l’instant,
Et nous faisant apprécier, ce moment inconstant.
©THOMAS André©

THOMAS ANDRE,poète,écrivain, http://www.thomasandre.c.la/
Je me suis inspiré des magnifiques photos&photos-peintures,
De la photographe d’art, créatrice de la photo-peinture
MARTINE ANCIAUX http://www.anciaux-photos.fr http://www.anciauxmartine.com ,
Musique de PAUL DECOMBLE
En ce lundi de Pâques, fête de joie et de partage chez nous, les catholiques,
je ne peux m’empêcher de penser aux gens seuls, et je retrace leurs parcours de tristesse.
Dans cet appartement vide, ma voix résonne, et je me force à parler haut,
Pour entendre cette présence, qui depuis si longtemps est absente,
Et que le bruit de mes mots, appelle de toutes mes forces,
Pour lui signifier mon amour, et son absence,
Celle qui me manque, celle qui m’exacerbe dans mon malheur,
Par sa mort que la maladie a emporté, et depuis, je me noie dans le modernisme,
L’Email, me rappelant le souvenir, de l’existence d’un ailleurs,
Le contact par les satellites, et le son des vivants, reste pour moi à me retrouver dans ce monde là.
©SOLITUDE POEME DE THOMAS ANDRE©

Dans ce 21emme siècle, on parle de plus en plus de solitude,
Malgré tous les appareils créent pour rompre cette habitude,
Car il est vrai qu’il existe des réseaux sociaux,
Mais derrière cet écran, je corresponds avec d’autres personnes de ces réseaux sociaux.

Un semblant de lien nous rapproche, il s’appelle Internet,
Mais serais je très seul, sans mes conversations sur le net,
Vacillant, suivant l’intensité de la liaison,
Et j’ai l’impression que si je romps le contact, je peux en perdre la raison.

Avec le mobile, je ne suis jamais seul,
Et je suis addict, car si par malheur, je ne l’avais pas avec moi, alors là, oui, je serais seul.
Car il faut, que je puisse appeler quelqu’un,
C’est une question d’équilibre, pour tout un chacun.

Alors, je me dois d’avoir le dernier Ipad, la tablette magique,
Celle ou je suis au courant de tout, c’est un besoin physique,
Reliant des personnes qui se voient jamais,
A un clavier qui les rends esclaves à jamais.

Pourtant j’entends chaque jour que les gens sont seuls,
Malgré toutes ces inventions
Qui rendent a amélioré les communications,
L’être humain, dans le monde, n’a jamais été aussi seuls,

7 milliards et demi d’individus sur notre terre,
Et le manque absolu de nourriture, pour faire manger correctement cette terre,
Et pourtant les divorces étant monnaies courantes,
Les individus se trouvent très souvent dans des situations délirantes.

Pourquoi notre société, se détruit elle de l’intérieur,
En se tournant, de plus en plus vers l’extérieur,
Et en oubliant sa vie personnelle,
Et portant, ils s’étaient fixés des valeurs formelles.

Qui n’ont pas tenus face aux virtuels,
Laminant comme un fou ces principes réels,
Validant par la même, un autre choix de vie,
Celui de ne vivre plus qu’en survie.

THOMAS André,écrivain,poète,poème,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art et créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
Le modernisme N’est pas toujours une facilité,
Il est très rare que la liaison internet
Sur nos ordinateurs ne tombent pas en panne, alors comme perdu,
Et à l’age de pierre l’homme se retrouve esclave de la machine,
Mon photo-poème est le genre de déboires que chacun de nous,
Peut rencontrer dans sa vie de tous les jours.

©MON ORDINATEUR POEME THOMAS ANDRE©

J’ai eus dernièrement, une grosse discussion avec mon ordinateur,
En effet, monsieur, faisait des caprices, se comportant comme un ordonnateur.
Je décidais, d’avoir une discussion franche avec lui,
J’en avais assez, d’être toujours en retard, dans mes mails à cause de lui.

La discussion fût vive, et directe,
Mes reproches l’affectaient pleinement,
Et ne lui laisser pas le temps, de l’atermoiement,
Il était touché, je ne devais pas m’appesantir, pour que mes remarques soient correctes.

Car, vraiment il avait abusé, de ces prérogatives,
Souvent, il m’arrivait d’écrire un nom, lui il en mettait un autre avec sa mémoire active,
Alors énervé, je l’engueulais,
Casse cela ne tienne, presque aussitôt, il recommençait.

Au point, que nous fûmes au bord de la rupture,
Ces incartades étaient légions, cela sonnaient le glas de la fracture,
Comment pouvais je me laisser intimider, par cette machine,
Comment ne pouvais je la raisonner, et asservir ma machine.

Nos conflits étaient fréquents,
Et se déroulaient souvent, en pleins échanges avec mes correspondants,
Au point, que de nombreuses fautes se détectaient sur mes courriels, évidemment,
J’étais hors de moi, je le traitais de tous les noms prépondérants,

Cherchant à le vexer, pour qu’il puisse se remettre dans les droits chemins,
J’étais outré, par sa constance à se fourvoyer, loin de la rectitude des anciens parchemins,
Comment étais ce possible, un engin du 21eme siècle non domestiqué,
Faisait sa loi dans ma maison avec ses manies sophistiquées.

Je pensais que le modernisme,
Etais l’ami de l’homme, non le machiavélisme,
Je ne savais plus quoi en faire,
Je pensais qu’il faudrait s’en défaire,

Mais avec un instinct de conservation,
Pour celui, auquel j’avais beaucoup d’affection,
Je me creusais la tête, pour trouver une solution,
Viable pour nous deux, et mon addiction.

Comment pourrais je me séparer, de celui avec qui souvent je partageais les nuits,
Nous livrant a mes amours la poésie qui s’écrit sans bruits,
D’où la lumière de la nuit,
Pour éclairer de mots mon écran,
Et créer comme un lien sacré qui finaliserait mon poème sur ce fabuleux écran.

Vous voyez ma décision n’était pas simple,
J’optais pour le contrôle technique,
Qui me permettrais de sauver mon jouet si technique,
Bien m’en a pris, il fût réparé et est devenu avec moi bien plus simple.

Rien ne sert de jeter,
Avant d’avoir tout tenté,
Pour pouvoir tout vérifier,
Et exprimais un diagnostic,auquel on n’avait pas pensé.

THOMAS ANDRE,écrivain,poète,poésie,poème http://www.thomasandre.c.la/
Grâce aux formidables photos&photos-peintures, de
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et crèatrice de la photo-peinture.
http://www.anciaux-photos.fr http://www.anciauxmartine.com,
J’ai pu rendre hommage à un réalisateur que j’admire énormément,
J’ai nommé STEVEN SPIELBERG ;
Réalisateur,producteur américain, Steven Spielberg, un des hommes les plus connus d'Hollywood,
alternant films de divertissement et films graves,
il présidera le jury du 66e festival de Cannes du 15 au 26 mai prochains,

©STEVEN SPIELBERG POEME THOMAS ANDRE ©
STEVEN SPIELBERG,est un homme,un cinéaste,acteur,producteur que j’admire beaucoup, Qui n’a jamais peur de se remettre en question, Et de soulever en nous de plus amples questions, Au risque de nous interpeller,ce qu’il réussit à chaque coup.
Il a le don de nous emmener ailleurs, Au cœur d’un suspense palpitant,dans le film Duel, Etudiant,ce fut mon premier film de Steven Spielberg,dans la dimension terreur, Cet automobiliste,poursuivit par ce camion,au conducteur fou,quel frayeur et quel duel,
Lutter contre sa peur pour se sauver, Se surpasser pour essayer de survivre, Dans une bataille qui vous amène dans une folie meurtrière,pour de nouveau vivre, Quel cauchemar,il faut se battre avec l’énergie du désespoir,afin d’ arriver.
Autre film de terreur,les Dents de la Mer, Qui peut dire qu’il n’a pas ressenti de la frayeur,en visionnant les dents de la mer, Ne mentez pas,voilà vous y êtes,ce requin était effrayant, Je me rappelle,mes premiers bains après le film,étaient souvent angoissés par la vue de ce monstre terrifiant.
Ensuite,toujours avec Spielberg,je partis vers les extra terrestres, Avec Rencontre du 3eme type,et cette drôle de musique, Différente,et inconnue,de nos oreilles terrestres, Alors je rencontrais E.T,et son désir de rentrer maison,un besoin physique.
Je vis l’arche perdue,et les Indiana Jones, Vous le comprendrez très vite,après chaque film,j’étais ce héros,
Et pour les humoristes,je précise, j’étais bien un crack,comme mon héros, Cet Harrison Ford,sans peur,et inventif,il méritait son nom d’Indiana Jones.
Vint la Couleur Pourpre,un film fantastique, Où, pour moi,le poète,l’expression des sentiments, Se développait au rythme des images magnifiques, Et je me sentis transporter,par l’histoire,et ses sentiments.
Alors vint,Jurassic Park,l’aventure dans ce film,j’étais lilliputien, Fini mes airs de grandeurs, à,face à ces dinosaures, Pouvoir vivre comme un petit homme,Gulliver,c’était la bête,et moi toujours le lilliputien. Alors je fis face,et affrontais les dinosaures.
Les hommes du feu d’Always, m’auraient été bien utiles,
Pourtant ceux-ci,dans ce film, malgré toutes leurs volontés,
N’arrivaient point à conjurer le feu,lutte féroce,et semblant inutile,
Pourtant avec du courage,et la mort,ils réussirent à vaincre de cruelles vérités.
Un film drame, la liste de Schindler, Une histoire vraie, sur des thèmes atroces, Où l’on voit l’homme, dans ces aspects destructeurs,et féroces, Et tout cela s’est passé,triste pour l’histoire humaine,mais quel film que la liste de Schindler. Et à l’heure, où j’écris ce poème, je m’apprête Monsieur STEVEN SPIELBERG,
A aller voir à UZES,votre dernier film, Celui de l’histoire des USA,LINCOLN ,tout le monde,est dithyrambique pour ce fameux film, Moi,THOMAS,qui ne croit que ce qu’il voit,vous aurez mon avis plus tard,merci Monsieur STEVEN SPIELBERG.

THOMAS ANDRE écrivain, poète, poésie, poème http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX photographe d'art et créatrice de la photo-peinture
http://www.anciaux-photos.fr http://www.anciauxmartine.com? MUSIQUE PAUL DECOMBLE,
Notre vie est comme le sable d’un sablier s’écoulant inexorablement,
Quoi que l’on fasse, le sable se vide, et notre vie prend des chemins incontournables,
Ceux de nos choix qui parfois sont lourds de conséquence.
©SABLIER DE VIE POEME THOMAS ANDRE©

Il est vrai que souvent le soir,
On se laisse aller vers le désespoir,
On a une impression contraignante de la vie
Car on est en manque d’envie.

Comme une apparition, apparaît une lumière,
Qui te chuchote à l'esprit une prière,
Et te fait découvrir la vérité,
Et creuse en toi, pour te faire de la vie retrouver la sincérité.

Il se nomme ton ami,
Veillant sur toi lors de tes moments de doutes infinis,
Pour te refaire voir ton chemin,
Et te dicter des dogmes, comme sur un parchemin.

Tu trouveras alors que la tristesse
Est si éloignée de l'allégresse,
Malgré tout, ces deux univers se rudoient,
Et chaque jour de notre existence, elles se côtoient.

Tu devras trouver le courage, pour garder la force en toi.
Pour apprendre à surmonter leurs dessins qui peuvent être rudesse,
Ou bien trouver de plus grandes motivations,
Pour que tu puisses trouver d'autres satisfactions

Comme une libération, tu entends une musique,
Et soudain, il semble y avoir un avenir,
Comme si par magie, quelque chose te rappelle, que tu as encore un devenir,
Celui indécis, imprécis et peut être physique,

Car les efforts pour te reconstruire te coûteront beaucoup,
Et tu devras t'imposer dans la difficulté,
Comme si tu étais, à la recherche, de ta source de vie tout à coup,
Comme un bruit intérieur, tu le percevras dans ta quasi surdité,

Celle qui t'empêche de continuer,
Car ta peine n'est pas encore assez atténuée,
Et cette blessure, t'ôte l'envie de vie,
Pour toi quoi qu'il se passe tu n'es qu'en survie.

Ecoule toi mon sablier de temps,
Pour que je puisse un jour ne plus être à contretemps,
Et que de tous mes malheurs j'en tire une force,
Et que de bribes, je devienne syllabes, puis phrase pour gagner en force,

Alors, toujours en courroux, au fond de moi,
Je pénétrerais jusqu'au plus profond de moi,
Pour essayer de retirer, ce grain de sable,
Qui ne m'autorise pas à voir, ce qu'il reste de mon histoire, cet océan de sable.

Comme pris dans un étau,
Je ne peux mettre en paix mon cerveau,
Sans risquer chaque jour de désillusion,
Je me dois d'éviter cette confusion.

THOMAS ANDRE,poète,écrivain, http://www.thomasandre.c.la/
Je me suis inspiré des magnifiques photos&photos-peintures,
De la photographe d’art, créatrice de la photo-peinture
MARTINE ANCIAUX http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
Un animal (du latin animus, esprit, ou principe vital). Définition dictionnaire.
Pour moi, qui suis les émissions sur les animaux, j’ai remarqué, que l’instinct maternel chez eux,
était très développé. Qu’il y a souvent une hiérarchie, établie après un combat, du chef et de son prétendant,
Qu’il ne chasse que pour combler la faim, et qu’il ne tue, que par obligation,
Aussi avec le peu de mes connaissances, j’ai voulu en poésie saluer nos amis les bêtes.

LES ANIMAUX ©THOMAS ANDRE

Ce furent avec les plantes, les premiers occupants,
Ils s’installèrent sur notre terre,
Et eurent droit à de nombreux descendants
Ils essayèrent de s’adapter sur cette terre.

Quelques uns sont la mémoire de notre planète,
Le rhinocéros est le cas typique,
On connaît assez peu sa vie, c’est un animal atypique,
Digne de notre plus grand respect pour la survie de la planète.

La girafe est l’étrangeté de ce monde animal,
Avant l’invention de nos machines, elle était déjà un élévateur original.
D’une habilité phénoménale.
Avec sa dextérité exceptionnelle, elle nous fait penser à nos robots programmables.

La loutre, une agilité à toute épreuve,
Une science de l’eau qui a fait ses preuves,
Plus souple que nos acrobates pourtant difficile à battre,
Elle utilise un minimum d’énergie pour pouvoir s’ébattre.

L’autruche, un animal de nature hargneuse,
Cherchant querelles à n’importe qui de manière belliqueuse.
Etrange agressivité qui s’apparenterait à celle de l’homme,
Inventant des sources de conflit tels nous les hommes.

Le dromadaire, celui qu’on appelle le vaisseau du désert,
Capable de traverser le désert,
Lorsqu’on y regarde de plus près on observe des excellences,
Dans chaque domaine de la nature c’est une évidence.

Le lycaon, c’est un chien que l’on dit sauvage,
Avec une organisation familiale qui est pire qu’une institution,
Ici tout est géré et analysé comme notre constitution,
C’est le clan qui gouverne vous en êtes son otage.

Oryx, cela fait penser au phénix,
Ou un bébé apprenant le langage dirait onyx.
Pour moi ces cornes en courbures arrondies
Me font penser à des antennes en mal de liaison non établies.

Le marabout, c’est le veilleur,
Installé sur ces pattes en voyeur.
Il semble être aux aguets
Et dans nos armées on dirait qu’il fait le guet.

Le caracal est une sorte de lynx aux oreilles à la Monsieur SPOKE,
Tel Le vulcain aux moyens illimités qu’est SPOKE,
Malgré leur placement haut sur tête, elles scrutent comme un sonar, épatant
Et sa silhouette fait penser aux lévriers afghans.

Ensuite, il y a la plante amphibie,
Qui surgit de l’eau pour en faire un tapis,
De couleurs chatoyantes et de formes ogivales,
Elles me font pensées à de splendides chandeliers en verres de cristal.

THOMAS ANDRE poète,écrivain,http://www.thomasandre.c.la/
photographe d’art,créatrice de la photo peinture MARTINE ANCIAUX,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com ,
ORIGAMI :nom japonais de l'art du pliage du papier,originaire aussi de chine.
Art,plus anciens populaires en Chine,apporté au Japon par des moines bouddhistes.
Il fait partie des arts du papier.Origami du verbe japonais,oru plier,technique au Japon
de l'ère Edo (1603─1867).L'origami japonais a certainement ses origines dans les cérémonies,
papier ainsi plié permettait de décorer les tables.
Friedrich Fröbel,modèle du jardin d'enfants,reconnaissait que l'assemblage,le tressage,
le pliage,le découpage du papier,étaient pédagogiques pour le développement des enfants.
Joseph Albers:théorie moderne des couleurs,art minimaliste,à enseigné l'origami.
méthode utilisée:feuilles de papier rondes,pliées selon des spirales ou des courbes.
Le Japonais Akira Yoshizawa,créateur de modèles d'origami,auteur de livres sur l'origami,
inspira la renaissance contemporaine.En France,
Mouvement Français des Plieurs de Papier(MFPP) Jean-Claude Correia.
Didier Boursin: poésie de l'origami, l’apprentissage des mathématiques.
Sadako a écrit « J'écrirai la paix sur tes ailes et tu voleras de par le monde
pour que plus jamais les enfants ne meurent ainsi. »
Pour un Japonais, l'origami est plus qu'un art:c'est une culture vivante.
En Mathématiques L'origami est un sujet d’étude, pour les enseignants de mathématiques,
géométrie,géométrie dans l’espace.

THOMAS ANDRE,écrivain,poète,poésie,poème http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et crèatrice de la photo-peinture.
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
Ginette Reno, née à Montréal.chanteuse,actrice québécoise,internationalement connu,et reconnu,
depuis 1962.grandes chansons de Ginette Reno,Roger,J'aime Guy,La dernière valse,
Aimez-le si fort,Dans la vie,Je t'offrirai,Les croissants de soleil,La vie,À ma manière,Toi le poète,
J'ai besoin d'un ami,Ça va mieux,Tu es là,Je ne suis qu'une chanson,Quand on se donne,Rouge,
Un homme ça tient chaud,J'ai besoin de parler,Paris Québec,De plus en plus fragile,Ma fille,
Ceux qui s'en vont,La deuxième voix,L'essentiel,Remixer ma vie,Y'a des enfants,
"Galaxies",L'hymne à l'amour,Laissez-moi rev'nir sur terre1996.
duo avec Jean-Pierre Ferland,un très gros succès avec la chanson,T'es mon amour,t'es ma maîtresse,
en 1975, Ginette Reno,auteurs,compositeurs,Jean Robitaille,Lee Gagnon,Diane Juster,
Luc Plamondon,Michel Jourdan,Francis Lai,Didier Barbelivien,Gérard Layani,la parolière
Québécoise Martine Pratte signe une chanson relatant sa vie:J'ai soixante-deux ans,
29 mars 2009,Ginette disque d'or,disque platine pour ce même album. 2011,
nouvel album"La musique en moi", écrit et composé notamment par
Didier Barbelivien etDiane Juster et repart en tournée en 2013.Elle est Officier de l'Ordre du Canada depuis 1981,Chevalier de l'Ordre national du Québec depuis 2004.
Des récompenses comme si il en pleuvait, cette star, c’est GINETTE RENO.
©MADAME GINETTE RENO POEME THOMAS ANDRE©

Une chanteuse avec une voix magique,
Une femme à la personnalité fantastique,
Une interprète, hors du commun, de la chanson française,
Admirant le mot, et l’encensant avec son accent d’expression française.

Une grande dame de la chanson internationale,
Cultivant la particularité de chanter, dans la langue de Shakespeare et celle de Molière,
Libérant des harmoniques dans ces 2 langues internationales,
A vous faire sentir le terme et en être fière.

Sur scène, elle vous envoûte,
Et vous vous sentez subjugué,
Par ces chansons, qui tracent la route,
Celle de la poésie, celle de l’accord conjugué,

En offrant une symbiose, un équilibre,
Entre la note, et le verbe,
Comme lors d’une tirade, où l’on exulte un proverbe,
Lançant à la foule d’une voix libre.

Les textes de ces auteurs,
Comme ces fabuleux acteurs,
Qui par une réplique, emplissent le monde du son,
Celui de l’art, et du talent à l’unisson.

Je me souviens encore le jour où je vous ai vue,
A cette émission de variétés de Michel Drucker à la télévision,
Le lendemain, chez le disquaire, je me suis rendu,
Et là de vos disques, j’en fis l’acquisition.

Depuis ce jour là j’ai voulu vous voir sur scène,
Malheureusement, la vie n’est pas une mise en scène,
Et rares sont ceux qui peuvent exaucer les envies,
Mais, c’est pour cela, que ce sont nos vies.

Aussi dès que je peux sur mes textes poétiques,
Embellis, par les photos&photos-peintures de Martine Anciaux magnifiques,
Je greffe sur mes diaporamas une chanson de la grande Ginette Reno,
Et comme par magie, l’ensemble se marie, au son de la voix de Ginette Reno.

THOMAS ANDRE,écrivain,poète,poésie,poème http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, et créatrice de la photo-peinture.
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
Définition du dictionnaire :
EXCENTRICITE : manière d’être, d’agir qui s’éloigne des manières usuelles,
Qui dénote de l’excentricité : de la bizarrerie,
Pour moi, c’est la non acceptation de soi-même, qui produit ou arrive à
Faire dériver certains esprits dans l’excentricité qui en plus de s’éloigner de la normalité
Frise souvent le très mauvais goût.

©EXCENTRICITE POEME DE THOMAS ANDRE©

Notre époque est devenue celle de l’excentricité,
Comment, au temps des médias, et d’Internet, se faire remarquer,
La simplicité, n’est pas de mise, seule, peut payer, l’excentricité,
Le choquant, le provoquant amènent l’intérêt pour être remarquer.

Le mauvais goût est surestimé,
La provocation en est le signe,
Tout être normal, est considéré, comme trop commun, et donc sous estimé,
Le hors norme, est montré comme insigne.

Savoir se faire remarquer dans notre temps, c’est ne pas laisser indifférent,
C’est envoyer un signal, du tout permis,
Et que l’inabordable est proscrit,
Quelle tristesse, que pour pouvoir se sentir exister il faut être différent,

Peut- être que ne sait on pas, que chaque être est unique,
Et que point ne sert de se montrer, avec n’ importe où sans tunique,
Pour pouvoir se faire apprécier,
Cette recherche est une fuite, contre son moi, pour être apprécié.

L’erreur vient de notre société de consommation,
Ou plutôt de consumation,
De l’individu, des médias qui mangent du scoop et de l’information,
Sans se poser la vraie question?

Quel avenir, pour ceux, qui encensent, et brûlent leurs idoles,
Au point de les idolâtrés un jour, et de les sacrifiés le lendemain,
Sans que bien souvent, on n’est compris pourquoi, on a était, et on n’est plus idoles,
La mode, l’air, le temps, l’exposition médiatique, fabriquent des gens sans lendemains.

Pourtant nous, humains avons une histoire,
Un formidable temps parcouru,pour pouvoir être de cette histoire,
Comment peut on imaginer,que l’homme puisse se substituer à DIEU,
Pour créer des personnages,dont ils ne gèrent pas le destin,lui,qui n’est pas DIEU.

Notre époque se caractérise en une phrase: paraître pour être,
Pourtant être, est la vraie vie de tous les jours,
L'apparence, est le subterfuge de la vie, et de notre toujours,
c'est l'extraction, soit par le virtuel, soit par le rôle, comme au cinéma, de l'être.

THOMAS ANDRE poète,écrivain,http://www.thomasandre.c.la/
MARTINE ANCIAUX photographe d’art, créatrice de la photo peinture,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com ,
L’ORCHESTRE un groupement de musiciens qui dans un parfait synchronisme,
Interprète une musique qui suivant les circonstances se graveront à jamais dans votre esprit,
Que ce soit comme préambule à une rencontre qui pourrait s’achever
Par une liaison, et si affinité, par un mariage, ou alors meurtri par le chagrin
D’avoir perdu l’être, que vous aimiez, ce moment musical vous emportera vers le passé,
Et le bonheur perdu, ou assoiffé par le rythme, comme nos ancêtres captivés
Par la musique, nous nous libérerons dans la danse.
©L’ORCHESTRE POEME THOMAS ANDRE©

Comme un seul homme, le son distinguant les instruments, se fondent,
En une harmonie savante, pour produire des musiques, qui abondent
Vers un rythme dansant,
Et qui se répercute, dans la douceur de la nuit imprégnant

De mélodies, cette douce soirée,
Entraînant en cadence, la foule venue pour passer, une bonne soirée,
Enchaînant les succès populaires,
Où la chanteuse, avec entrain chante ses airs populaires.

Moi qui suis là, vibre aux accents de ses mélopées,
Me balançant en cadence, par ses chansons développées.
Je suis dans la danse, fléchissant mon corps en puissance,
Pour me laisser pénétrer par avance,

Par cette chaude ambiance,
Qui nous galvanise et nous envoûte,
Nous entraînant vers la route
De la musique rythmique, qui nous captive en nous chantant avec arrogance,

Nos musiques d’antan, alors, comme ébloui par le spectacle,
Je me donne moi-même en spectacle,
Ignorant la retenue, que seule la musique
Peut ôter, pour nous amener vers une liberté physique,

Celle morale, s’étant éclipsé aux premières notes,
Quand l’orchestre a jouait, mes airs romantiques,
M’enveloppant de mes sentiments, gardés en mémoires, nostalgiques
Et pleine de regret, de mes histoires inachevées, sur ces même notes.

Ensuite, quand la nuit s’avança, vers le jour,
Je repartis dans ma réalité, avec mes nouveaux atours,
Enflammé, par cette si bonne soirée,
Qui grâce à cet orchestre, m’avait ma jeunesse remémorée;

©ATHLETISME POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX©

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