THOMAS ANDRE, poète et écrivain, http://www.thomasandre.c.la/
Je me suis inspiré des magnifiques photos & photos-peintures,
De la photographe d’art, créatrice de la photo-peinture
MARTINE ANCIAUX http://www.anciaux-photos.fr http://www.anciauxmartine.com ,
Ce photo-poème est enregistré avec les Musiques de PAUL DECOMBLE
La brume: fines gouttelettes,où fins cristaux de glace,phènomène physique
Quand l’atmosphère est saturé en humiditè. Cela se nomme une définition dictionnaire.
Quand par la fraîcheur de la nuit, au lever du soleil, un voile épais recouvre les prairies,
Je me sens transporté, par cette brume, qui permet aux animaux, et même aux humains,
De se dissimuler, sans le chercher, en pleine nature, mais aussi sentir cette humidité
Qui te pénètre et te glace les os, alors le poète cherche le biais à cette froideur,
Dans ce mur de silence qui l’entoure, il interprète un concerto de mots, et s’épanche
en douceur sur son bloc, là il sera prêt à accepter les mauvaises conditions du temps.
©BRUME POEME THOMAS ANDRE©
Quand au point du jour, l’horizon est pris par la brume,
Inconsciemment, je sens poindre l’hiver,
Alors la blancheur, revêtira ces arbres dans le lointain couvert de brumes,
Et la neige leur offrira leurs vestes d’hiver.
Les ensevelissant d’une couche épaisse et mœlleuse,
Semblant les protéger comme logés dans une caisse,
Pour une expédition lointaine,
Les enveloppant comme un cadeau de Noël d’une façon prodigieuse.
De la rive, je vois se lever notre soleil,
Souvent sa couleur me fascine,
Et je reste en pleine réflexion, devant la beauté de notre soleil.
Comme les enfants en s’endormant après une comptine.
Au loin dans la vallée la terre arrive à se confondre au ciel,
Surtout, lorsque ce voile épais, recouvre les versants,
Donnant une impression de butée à notre regard pourtant si persan
Alors comme pour se repérer mes yeux se portent vers le ciel,
Et je constate avec stupeur,
Le peu de champs qui s’offre à ma vue,
Et cherchant dans ma tête un repère, je constate avec terreur,
Que point n’en trouve, sur cet axe convenu.
Aussi je sens en moi, un besoin de prière,
Et je m’épanche vers DIEU,
En formulant, à voix haute ma prière,
Comme un cri de malaise, ma voix et mon regard convergent vers DIEU.
Me sentant comme mes ancêtres incapable de trouver mon chemin,
Je crie ma peur pour qu’il me montre le chemin.
Une impression diffuse se propage en moi,
Une certitude se fait jour, et là je sens ma foi,
Qui me permet de mieux juger,
De mieux apprécier les inconvénients,
Témoignant en mon corps une certaine réalité à mieux jauger,
Me donnant une force pour affronter cette difficulté sereinement.
Viens le temps du raisonnement,
Finis le manque de jugement,
Comme par miracle, cette incertitude au fond de moi disparaît,
Laissant place à une résolution qui transparaît.
La brume hivernale nous conforte dans la joie,
Celle de la crèche et la venue de l’enfant JESUS,
Le père Noël participant à la fête, apportant lui aussi des cadeaux, à l’enfant JESUS.
Et me rappelant la magnificence de NOËL et sa joie.
Je me suis inspiré des magnifiques photos & photos-peintures,
De la photographe d’art, créatrice de la photo-peinture
MARTINE ANCIAUX http://www.anciaux-photos.fr http://www.anciauxmartine.com ,
Ce photo-poème est enregistré avec les Musiques de PAUL DECOMBLE
La brume: fines gouttelettes,où fins cristaux de glace,phènomène physique
Quand l’atmosphère est saturé en humiditè. Cela se nomme une définition dictionnaire.
Quand par la fraîcheur de la nuit, au lever du soleil, un voile épais recouvre les prairies,
Je me sens transporté, par cette brume, qui permet aux animaux, et même aux humains,
De se dissimuler, sans le chercher, en pleine nature, mais aussi sentir cette humidité
Qui te pénètre et te glace les os, alors le poète cherche le biais à cette froideur,
Dans ce mur de silence qui l’entoure, il interprète un concerto de mots, et s’épanche
en douceur sur son bloc, là il sera prêt à accepter les mauvaises conditions du temps.
©BRUME POEME THOMAS ANDRE©
Quand au point du jour, l’horizon est pris par la brume,
Inconsciemment, je sens poindre l’hiver,
Alors la blancheur, revêtira ces arbres dans le lointain couvert de brumes,
Et la neige leur offrira leurs vestes d’hiver.
Les ensevelissant d’une couche épaisse et mœlleuse,
Semblant les protéger comme logés dans une caisse,
Pour une expédition lointaine,
Les enveloppant comme un cadeau de Noël d’une façon prodigieuse.
De la rive, je vois se lever notre soleil,
Souvent sa couleur me fascine,
Et je reste en pleine réflexion, devant la beauté de notre soleil.
Comme les enfants en s’endormant après une comptine.
Au loin dans la vallée la terre arrive à se confondre au ciel,
Surtout, lorsque ce voile épais, recouvre les versants,
Donnant une impression de butée à notre regard pourtant si persan
Alors comme pour se repérer mes yeux se portent vers le ciel,
Et je constate avec stupeur,
Le peu de champs qui s’offre à ma vue,
Et cherchant dans ma tête un repère, je constate avec terreur,
Que point n’en trouve, sur cet axe convenu.
Aussi je sens en moi, un besoin de prière,
Et je m’épanche vers DIEU,
En formulant, à voix haute ma prière,
Comme un cri de malaise, ma voix et mon regard convergent vers DIEU.
Me sentant comme mes ancêtres incapable de trouver mon chemin,
Je crie ma peur pour qu’il me montre le chemin.
Une impression diffuse se propage en moi,
Une certitude se fait jour, et là je sens ma foi,
Qui me permet de mieux juger,
De mieux apprécier les inconvénients,
Témoignant en mon corps une certaine réalité à mieux jauger,
Me donnant une force pour affronter cette difficulté sereinement.
Viens le temps du raisonnement,
Finis le manque de jugement,
Comme par miracle, cette incertitude au fond de moi disparaît,
Laissant place à une résolution qui transparaît.
La brume hivernale nous conforte dans la joie,
Celle de la crèche et la venue de l’enfant JESUS,
Le père Noël participant à la fête, apportant lui aussi des cadeaux, à l’enfant JESUS.
Et me rappelant la magnificence de NOËL et sa joie.