A QUELQUES HEURES DE LA NOUVELLE ANNEE, je viens vous souhaiter à vous tous, employés de CNN et vos familles, ainsi qu'à vos fidèles interlocuteurs, et internautes du monde entier,
Une très bonne Année 2014, et moi le poète je finirais cette année 2013, en vous envoyant mon dernier photos-poème avec toutes mon amitiés
THOMAS André
THOMAS André,écrivain,poète,auteur,http://www.thomas.c.la/,
Martine ANCIAUX,photographe d’art,créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciauxmartine.fr, http://www.anciauxmartine.com,
Musique PAUL DECOMBLE
CAVALCADE, j’ai toujours été impressionné par ses chevaux au galop,
Quand comme le veut la tradition, les gardians emmènent à fond de train,
Dans la ville, Les taureaux vers les arènes,
dans la Provence et le Languedoc Roussillon cela se
Nomme l’Abrivado, j’ai été aussi surpris, dans ces tramways aux marches pieds,
Ou se tiennent les Passagers, j’ai vu le fracas du Niagara, et la vieillesse
M’a rattrapé, et maintenant je vis, j’écris sur
Les belles photos&photos-peintures de MARTINE ANCIAUX, et je les partage avec vous.
©CAVALCADE POEME DE THOMAS ANDRE©
Tels ces chevaux au galop,
Maîtrisant leur puissance, et la course de leurs galops,
Je me penche pour mieux les voir,
Tel un passager du tramway, de San Francisco, comme quelqu’un faisant un au revoir.
Alors je pense à mon voyage,
De découvertes en enchantements,
Avec le recul des années, je revois les images,
Et comme ces moments là étaient précieux, et de ravissement.
Tout mon être avec l’âge se sent moins performant,
Et je chante les louanges du seigneur,
Pour que je ne finisse pas larmoyant,
Sur mon passé, maintenant c’est l’avenir dont j’ai peur.
Quand le bruit des chutes du Niagara,
Résonnait à mes oreilles et que ma vue se gorgeait de beauté,
Alors oui, je peux le dire que c’est magnifique le Niagara,
Et que ce soit du côté canadien ou américain, ce paysage est violence et sérénité.
La musique de cette eau,
Me fait penser à une discorde musicale,
Où les notes comme les gouttes se télescoperaient en énergie radicale,
Produisant en contact l’augmentation de la puissance de ces eaux,
Ensuite, je regarderais de nouveau ces chevaux à l’entraînement,
Se laissant commander malicieusement,
Sachant que pour eux, cela n’est que plaisir,
Et que comme par amour, s’offriraient ce désir.
Alors après ces galops de manège,
Je m’offrirais avec eux, une promenade en calèche,
Comme le faisaient nos ancêtres, car ils n’avaient pas encore, et pas pour tout le monde, une calèche,
Ce moyen de déplacement, et ces chevaux de bois qui figurent sur nos manèges.
Homme, fait comme la musique, échappe toi,
Vogue, et vis à l' l’infini, pour la plénitude de ton moi,
Mais pense, à tout ce que tu dois respecter,
Pour que ta progéniture, soit heureuse, et puisse, encore se développer.
Une très bonne Année 2014, et moi le poète je finirais cette année 2013, en vous envoyant mon dernier photos-poème avec toutes mon amitiés
THOMAS André
THOMAS André,écrivain,poète,auteur,http://www.thomas.c.la/,
Martine ANCIAUX,photographe d’art,créatrice de la photo-peinture,
http://www.anciauxmartine.fr, http://www.anciauxmartine.com,
Musique PAUL DECOMBLE
CAVALCADE, j’ai toujours été impressionné par ses chevaux au galop,
Quand comme le veut la tradition, les gardians emmènent à fond de train,
Dans la ville, Les taureaux vers les arènes,
dans la Provence et le Languedoc Roussillon cela se
Nomme l’Abrivado, j’ai été aussi surpris, dans ces tramways aux marches pieds,
Ou se tiennent les Passagers, j’ai vu le fracas du Niagara, et la vieillesse
M’a rattrapé, et maintenant je vis, j’écris sur
Les belles photos&photos-peintures de MARTINE ANCIAUX, et je les partage avec vous.
©CAVALCADE POEME DE THOMAS ANDRE©
Tels ces chevaux au galop,
Maîtrisant leur puissance, et la course de leurs galops,
Je me penche pour mieux les voir,
Tel un passager du tramway, de San Francisco, comme quelqu’un faisant un au revoir.
Alors je pense à mon voyage,
De découvertes en enchantements,
Avec le recul des années, je revois les images,
Et comme ces moments là étaient précieux, et de ravissement.
Tout mon être avec l’âge se sent moins performant,
Et je chante les louanges du seigneur,
Pour que je ne finisse pas larmoyant,
Sur mon passé, maintenant c’est l’avenir dont j’ai peur.
Quand le bruit des chutes du Niagara,
Résonnait à mes oreilles et que ma vue se gorgeait de beauté,
Alors oui, je peux le dire que c’est magnifique le Niagara,
Et que ce soit du côté canadien ou américain, ce paysage est violence et sérénité.
La musique de cette eau,
Me fait penser à une discorde musicale,
Où les notes comme les gouttes se télescoperaient en énergie radicale,
Produisant en contact l’augmentation de la puissance de ces eaux,
Ensuite, je regarderais de nouveau ces chevaux à l’entraînement,
Se laissant commander malicieusement,
Sachant que pour eux, cela n’est que plaisir,
Et que comme par amour, s’offriraient ce désir.
Alors après ces galops de manège,
Je m’offrirais avec eux, une promenade en calèche,
Comme le faisaient nos ancêtres, car ils n’avaient pas encore, et pas pour tout le monde, une calèche,
Ce moyen de déplacement, et ces chevaux de bois qui figurent sur nos manèges.
Homme, fait comme la musique, échappe toi,
Vogue, et vis à l' l’infini, pour la plénitude de ton moi,
Mais pense, à tout ce que tu dois respecter,
Pour que ta progéniture, soit heureuse, et puisse, encore se développer.